Salut, je suis Selma. Je suis une femme excitĂ©e de 41 ans avec un corps dodu, de gros seins, un gros cul et qui aime beaucoup le sexe. Donc, vous voyez, je suis une femme au foyer pleine d’entrain. Je suis mariĂ© maintenant. Mon mari est aussi un baiseur très excitĂ©. Nous avons un mariage heureux avec lui. Chers amis, pour une raison que je ne peux Ă©crire ici, j’ai passĂ© 9 ans en prison (comme vous pouvez le comprendre, je ne veux pas donner le lieu et le nom de la prison oĂą j’ai Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©!). Pour ĂŞtre honnĂŞte, quand je suis allĂ© en prison, j’ai rĂ©flĂ©chi Ă la façon dont je pourrais survivre toutes ces annĂ©es sans sexe, sans bites et sans hommes. Mais ensuite j’ai vu que dans notre service des femmes, il n’y a pas de limites au sexe et Ă la baise. J’ai eu une vie sexuelle beaucoup plus colorĂ©e en prison que ma vie au village. Avant que j’aille en prison, seul le gars qui deviendrait mon premier mari me baisait au village. Sa queue n’Ă©tait pas assez grosse pour me nourrir non plus. Mais une fois Ă l’intĂ©rieur, je baisais confortablement nos gardes masculins. Bien sĂ»r, toutes les femmes et filles condamnĂ©es n’Ă©taient pas comme ça. J’Ă©tais l’une de celles qui entretenaient de bonnes relations avec l’administration, s’entendaient dĂ©cemment avec tout le monde dans la paroisse et faisaient des femmes comme elles. Comme il y a beaucoup de gardiens masculins dans la prison oĂą j’ai sĂ©journĂ©, nous aimions les bites des bites pour nous baiser. Nous avions aussi des relations sexuelles occasionnelles avec les femmes de la salle. D’ailleurs, toutes les femmes, moi y compris, en avaient une bouteille. Les jours de baignade, chacun emportait son biberon et son concombre avec lui. Nous nous sommes lavĂ©s dans la salle de bain, nous nous sommes rasĂ©s les chattes, nous nous sommes poussĂ©s des bouteilles et des concombres. Certaines femmes, filles, en guise de punition, ne baiseraient pas avec des gardes masculins. Ils se poussaient aussi des bouteilles Ă eux-mĂŞmes faute de bite. Nous utilisions gĂ©nĂ©ralement une bouteille de coca en verre. Une fois, une fille novice allongĂ©e sur la couchette Ă cĂ´tĂ© de moi a poussĂ© un concombre dans son cul au lit la nuit par excitation. Et quand le concombre est devenu un peu petit, il est entrĂ© dans son cul et n’est plus jamais ressorti. La fille avait aussi peur, m’a rĂ©veillĂ© la nuit, a dit: “Ma soeur, je vais te dire quelque chose…”et a expliquĂ© la situation, et j’ai eu mal au ventre en riant. Et puis il a emmenĂ© la fille aux toilettes, l’a aidĂ©e Ă retirer le concombre de son cul, puis j’ai conseillĂ© Ă la fille: “Écoute, ma fille, achète-toi un coca demain, bois avec plaisir, garde la bouteille. Tant que tu resteras ici, cette bouteille sera ton homme le plus fidèle, enculĂ©, mari! Est-ce que ça va?”parce que. La fille a dit: “Mmm, d’accord, soeur!”il a fait ce que j’ai dit le lendemain. Nous avons eu une vie sexuelle très colorĂ©e en prison. Nous avions l’habitude de jouer Ă diffĂ©rents jeux sexuels avec les amis de la paroisse. Par exemple, une fois, nous avons collectĂ© de l’argent entre nous et nous avons demandĂ© d’apporter un vibromasseur Ă la taille de l’extĂ©rieur. Nous nous rĂ©unissions entre nous, jouions au jeu du mariage, associions mari et femme, ” Fille Halima, tu deviens le mari de Selma. DĂ©c. Fatma, tu seras le mari de Meltem…”etc. etc. Ensuite, nous nous dĂ©corerions, des mariages spĂ©ciaux seraient cĂ©lĂ©brĂ©s, puis il serait temps pour la nuit de noces. Il rĂ©servait l’une des couchettes pour le mariage, et nous nous tenions en face de lui et regardions l’un de nous crĂ©piter et baiser l’autre. Lors de ces orgies sexuelles, notre limite ne serait pas taboue. Parfois je serais un putain d’homme, parfois je serais un putain d’avrad. Chacun aurait son propre fantasme. Certaines femmes qui avaient Ă©tĂ© sans homme pendant des annĂ©es exprimaient facilement leurs sentiments intĂ©rieurs “ ” Ohh Selma, allez, baise cette fille d’accord!”l’un d’eux disait, et l’autre disait “” Je vais baiser, je vais baiser la chatte de cette fille!”il dirait. Je n’oublierai jamais, selon nous, nous avions une sĹ“ur aĂ®nĂ©e Aylin, qui Ă©tait calme, calme, semblait honnĂŞte, habillĂ©e avec dĂ©sinvolture. Une fois, nous l’avons Ă peine persuadĂ©e de se joindre Ă nous dans cette orgie sexuelle, et nous avons choisi quelqu’un entre nous et lui avons fait DĂ©c. SĹ“ur Aylin a d’abord timidement commencĂ© Ă faire l’amour et s’est rapidement Ă©vanouie en se faisant baiser en crĂ©pitant et en disant: “Ohhhh! Allez, mec, baise ta tante dans le cul!”ne dira-t-il pas! Nous avons tous Ă©tĂ© surpris et avons ri. Plus tard, nous avons dĂ©couvert que cette mazbut Aylin notre sĹ“ur est devenue veuve Ă son jeune âge et lui a donnĂ© sa belle-fille plusieurs fois par dĂ©pit lorsqu’elle est entrĂ©e dans l’adolescence. Que doit-elle faire de sa belle-mère, il y a un cul de chatte prĂŞt Ă ĂŞtre baisĂ©, Aylin a baisĂ© notre soeur plusieurs fois. Après ce jour-lĂ , les filles de la paroisse ont dit Ă sĹ“ur Aylin: “SĹ“ur Aylin, dites-moi, Ă©tait-ce l’aĂ®nĂ©e de votre mari ou celle de votre belle-mère?”ils n’arrĂŞtaient pas de traĂ®ner. La sĹ“ur aĂ®nĂ©e, la dirigeante de notre paroisse, Ă©tait une femme nommĂ©e Derya, qui approchait la cinquantaine, avait des tatouages partout, de gros seins, un gros cul, travaillait dans un bordel depuis des annĂ©es. Il y avait des filles que cette sĹ“ur Derya avait l’habitude de travailler comme chiennes Ă l’extĂ©rieur. Il a Ă©galement choisi des femmes pour baiser de la salle aux gardes. Grâce Ă lui, il m’aimait beaucoup, chaque fois que je voulais une bite vivante, il me trouvait un gardien masculin, me baisait. On lui a posĂ© des questions sur tout dans la salle. Tout le monde avait une rĂ©partition des tâches. Celui qui Ă©tait indisciplinĂ© et dĂ©sobĂ©issait, sĹ“ur Derya donnerait la punition. Habituellement, les filles nouvellement arrivĂ©es qui ne connaissaient pas l’ordre de prison, les femmes Ă©taient punies. Les punitions donnĂ©es par sĹ“ur Derya Ă©taient toujours sexuellement explicites, liĂ©es au sexe. Quel mensonge je dirais, je serais prĂ©sent lors de la mise en Ĺ“uvre de ces punitions, je contribuerais Ă sĹ“ur Derya Ă ma manière, j’en profiterais.
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Salut, je suis Selma. Je suis une femme excitĂ©e de 41 ans avec un corps dodu, de gros seins, un gros cul et qui aime beaucoup le sexe. Donc, vous voyez, je suis une femme au foyer pleine d’entrain. Je suis mariĂ© maintenant. Mon mari est aussi un baiseur très excitĂ©. Nous avons un mariage heureux avec lui. Chers amis, pour une raison que je ne peux Ă©crire ici, j’ai passĂ© 9 ans en prison (comme vous pouvez le comprendre, je ne veux pas donner le lieu et le nom de la prison oĂą j’ai Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ©!). Pour ĂŞtre honnĂŞte, quand je suis allĂ© en prison, j’ai rĂ©flĂ©chi Ă la façon dont je pourrais survivre toutes ces annĂ©es sans sexe, sans bites et sans hommes. Mais ensuite j’ai vu que dans notre service des femmes, il n’y a pas de limites au sexe et Ă la baise. J’ai eu une vie sexuelle beaucoup plus colorĂ©e en prison que ma vie au village. Avant que j’aille en prison, seul le gars qui deviendrait mon premier mari me baisait au village. Sa queue n’Ă©tait pas assez grosse pour me nourrir non plus. Mais une fois Ă l’intĂ©rieur, je baisais confortablement nos gardes masculins. Bien sĂ»r, toutes les femmes et filles condamnĂ©es n’Ă©taient pas comme ça. J’Ă©tais l’une de celles qui entretenaient de bonnes relations avec l’administration, s’entendaient dĂ©cemment avec tout le monde dans la paroisse et faisaient des femmes comme elles. Comme il y a beaucoup de gardiens masculins dans la prison oĂą j’ai sĂ©journĂ©, nous aimions les bites des bites pour nous baiser. Nous avions aussi des relations sexuelles occasionnelles avec les femmes de la salle. D’ailleurs, toutes les femmes, moi y compris, en avaient une bouteille. Les jours de baignade, chacun emportait son biberon et son concombre avec lui. Nous nous sommes lavĂ©s dans la salle de bain, nous nous sommes rasĂ©s les chattes, nous nous sommes poussĂ©s des bouteilles et des concombres. Certaines femmes, filles, en guise de punition, ne baiseraient pas avec des gardes masculins. Ils se poussaient aussi des bouteilles Ă eux-mĂŞmes faute de bite. Nous utilisions gĂ©nĂ©ralement une bouteille de coca en verre. Une fois, une fille novice allongĂ©e sur la couchette Ă cĂ´tĂ© de moi a poussĂ© un concombre dans son cul au lit la nuit par excitation. Et quand le concombre est devenu un peu petit, il est entrĂ© dans son cul et n’est plus jamais ressorti. La fille avait aussi peur, m’a rĂ©veillĂ© la nuit, a dit: “Ma soeur, je vais te dire quelque chose…”et a expliquĂ© la situation, et j’ai eu mal au ventre en riant. Et puis il a emmenĂ© la fille aux toilettes, l’a aidĂ©e Ă retirer le concombre de son cul, puis j’ai conseillĂ© Ă la fille: “Écoute, ma fille, achète-toi un coca demain, bois avec plaisir, garde la bouteille. Tant que tu resteras ici, cette bouteille sera ton homme le plus fidèle, enculĂ©, mari! Est-ce que ça va?”parce que. La fille a dit: “Mmm, d’accord, soeur!”il a fait ce que j’ai dit le lendemain. Nous avons eu une vie sexuelle très colorĂ©e en prison. Nous avions l’habitude de jouer Ă diffĂ©rents jeux sexuels avec les amis de la paroisse. Par exemple, une fois, nous avons collectĂ© de l’argent entre nous et nous avons demandĂ© d’apporter un vibromasseur Ă la taille de l’extĂ©rieur. Nous nous rĂ©unissions entre nous, jouions au jeu du mariage, associions mari et femme, ” Fille Halima, tu deviens le mari de Selma. DĂ©c. Fatma, tu seras le mari de Meltem…”etc. etc. Ensuite, nous nous dĂ©corerions, des mariages spĂ©ciaux seraient cĂ©lĂ©brĂ©s, puis il serait temps pour la nuit de noces. Il rĂ©servait l’une des couchettes pour le mariage, et nous nous tenions en face de lui et regardions l’un de nous crĂ©piter et baiser l’autre. Lors de ces orgies sexuelles, notre limite ne serait pas taboue. Parfois je serais un putain d’homme, parfois je serais un putain d’avrad. Chacun aurait son propre fantasme. Certaines femmes qui avaient Ă©tĂ© sans homme pendant des annĂ©es exprimaient facilement leurs sentiments intĂ©rieurs “ ” Ohh Selma, allez, baise cette fille d’accord!”l’un d’eux disait, et l’autre disait “” Je vais baiser, je vais baiser la chatte de cette fille!”il dirait. Je n’oublierai jamais, selon nous, nous avions une sĹ“ur aĂ®nĂ©e Aylin, qui Ă©tait calme, calme, semblait honnĂŞte, habillĂ©e avec dĂ©sinvolture. Une fois, nous l’avons Ă peine persuadĂ©e de se joindre Ă nous dans cette orgie sexuelle, et nous avons choisi quelqu’un entre nous et lui avons fait DĂ©c. SĹ“ur Aylin a d’abord timidement commencĂ© Ă faire l’amour et s’est rapidement Ă©vanouie en se faisant baiser en crĂ©pitant et en disant: “Ohhhh! Allez, mec, baise ta tante dans le cul!”ne dira-t-il pas! Nous avons tous Ă©tĂ© surpris et avons ri. Plus tard, nous avons dĂ©couvert que cette mazbut Aylin notre sĹ“ur est devenue veuve Ă son jeune âge et lui a donnĂ© sa belle-fille plusieurs fois par dĂ©pit lorsqu’elle est entrĂ©e dans l’adolescence. Que doit-elle faire de sa belle-mère, il y a un cul de chatte prĂŞt Ă ĂŞtre baisĂ©, Aylin a baisĂ© notre soeur plusieurs fois. Après ce jour-lĂ , les filles de la paroisse ont dit Ă sĹ“ur Aylin: “SĹ“ur Aylin, dites-moi, Ă©tait-ce l’aĂ®nĂ©e de votre mari ou celle de votre belle-mère?”ils n’arrĂŞtaient pas de traĂ®ner. La sĹ“ur aĂ®nĂ©e, la dirigeante de notre paroisse, Ă©tait une femme nommĂ©e Derya, qui approchait la cinquantaine, avait des tatouages partout, de gros seins, un gros cul, travaillait dans un bordel depuis des annĂ©es. Il y avait des filles que cette sĹ“ur Derya avait l’habitude de travailler comme chiennes Ă l’extĂ©rieur. Il a Ă©galement choisi des femmes pour baiser de la salle aux gardes. Grâce Ă lui, il m’aimait beaucoup, chaque fois que je voulais une bite vivante, il me trouvait un gardien masculin, me baisait. On lui a posĂ© des questions sur tout dans la salle. Tout le monde avait une rĂ©partition des tâches. Celui qui Ă©tait indisciplinĂ© et dĂ©sobĂ©issait, sĹ“ur Derya donnerait la punition. Habituellement, les filles nouvellement arrivĂ©es qui ne connaissaient pas l’ordre de prison, les femmes Ă©taient punies. Les punitions donnĂ©es par sĹ“ur Derya Ă©taient toujours sexuellement explicites, liĂ©es au sexe. Quel mensonge je dirais, je serais prĂ©sent lors de la mise en Ĺ“uvre de ces punitions, je contribuerais Ă sĹ“ur Derya Ă ma manière, j’en profiterais.