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J’ai 30 ans. Je vis Ă  Ankara. Mon frère de 28 ans est dans une autre ville. En raison du travail de mon père, nous changions souvent de ville quand nous Ă©tions petits. Partout oĂą nous allions, nous Ă©tions Ă©trangers et seuls. Ma mère et mon père n’Ă©taient pas très comprĂ©hensifs avec nous non plus. Cet environnement m’a rapprochĂ© de plus en plus de mon frère. Il a 17 ans et j’en ai 16 . quand nous Ă©tions plus âgĂ©s, nous avons commencĂ© Ă  faire l’amour un jour oĂą nous Ă©tions seuls Ă  la maison.
Ma mère a battu mon frère ce matin. Mon père m’a aussi grondĂ©. Nous Ă©tions donc Ă  la fois dĂ©primĂ©s et dĂ©primĂ©s. Et nous Ă©tions malheureux. Quand nous sommes rentrĂ©s Ă  la maison dans l’après-midi, ma mère a prĂ©parĂ© le dĂ®ner de bouche Ă  oreille et est allĂ©e chez son voisin. Il ne devait rentrer que le soir. Et mon père aussi. Nous Ă©tions confinĂ©s Ă  la maison parce que nous n’avions pas d’amis. DĂ®ner dans la cuisine . nous avons essayĂ© de nous remonter le moral en mangeant. En attendant, nous avons commencĂ© Ă  raconter des blagues Ă©rotiques. DĂ©c. Le truc de ce mec est une de ces blagues qui rendaient une femme idiote. Avant que nous le sachions, nous Ă©tions complètement excitĂ©s.
C’Ă©tait une destination de vacances, c’Ă©tait la mer ÉgĂ©e. Il faisait chaud. C’Ă©tait comme si tout le monde autour de nous faisait l’amour normalement. Nous avions très faim. L’idĂ©e d’avoir des relations sexuelles avec mon frère m’est venue dans un tel environnement. Je ne sais pas comment il se sentait, mais quand il a dit: “jouons Ă  un jeu ou on va s’ennuyer jusqu’au soir”, il m’a bien encouragĂ© en me disant avec un sourire significatif: “Je vais prendre un bain, ne viens pas, je vais aller dans la chambre et me dĂ©shabiller.”
J’ai attendu un moment. J’ai rangĂ© la cuisine. J’ai soudainement dĂ©cidĂ© et je me suis dĂ©shabillĂ©. Il ne me restait qu’une seule paire de pantalons. J’allais faire irruption dans la pièce. S’il rĂ©agissait nĂ©gativement, j’allais faire semblant de chercher quelque chose. Je suis soudainement entrĂ© dans la pièce. . Il Ă©tait aussi un athlète du don. Sa culotte a très bien attrapĂ© sa chatte et c’Ă©tait appĂ©tissant. Elle avait beaucoup d’athlĂ©tisme et les seins orange semblaient dĂ©cemment entre les deux. C’Ă©tait très sexy.
“Frappe d’abord Ă  la porte, animal”, dit – il en riant. Il riait d’un cĂ´tĂ© et regardait ma bite de l’autre. Je suis très encouragĂ©. J’ai dit ” ” Ne dis pas animal, va te faire foutre.”Il ripostait. ”Je vais te baiser, ” dit – il en riant. en fait, l’inceste avait commencĂ©, mais nous allions remplir les formalitĂ©s. J’ai dit ”” tu ne peux pas baiser, tu n’as pas de bite, tu as une chatte.”Tout Ă  coup, il m’a sautĂ© dessus, soi-disant en m’attaquant. ”Je vais dire Ă  ma mère, qu’est-ce que tu dis, connard”, et nous avons commencĂ© Ă  nous battre, soi-disant. Mais chaque partie de nous valait chaque partie de nous. Je frottais bien, serrant fermement.
Il Ă©tait Ă©galement enroulĂ© autour de mes jambes avec ses jambes, et ma bite se tortillait sur ses jambes. J’ai mis ma main sur ses hanches et l’ai serrĂ© fort, le posant par terre. Pendant qu’il Ă©tait allongĂ© sur le sol, je me suis Ă©galement appuyĂ© sur lui. “Aaaaa..il a mis sa bite sur mon truc. On dit ”sale”, mais parce qu’il se tortillait sous moi, il nous excitait vraiment tous les deux. Puis j’ai commencĂ© Ă  bien le frotter sur le dessus du kilot, et la pièce a rĂ©pondu. Et je suis tombĂ© sur tes lèvres. Nous nous sommes embrassĂ©s comme des novices fous.
On a vraiment aimĂ© ça. Je dĂ©shabille votre athlète sur le cĂ´tĂ© et je l’embrasse pour le sucer . J’ai commencĂ©. Ӎa fait mal, ralentis, mon frère”, a-t-il dit. Ils venaient juste de sortir. Puis je me suis penchĂ© et j’ai commencĂ© Ă  embrasser sa chatte et Ă  la lĂ©cher avec ma langue. Il aimait beaucoup ça. Il se tortillait comme un serpent. Il a commencĂ© Ă  me lĂ©cher aussi, mais il Ă©tait très novice et je pense qu’il avait un peu peur. Nous sommes sortis salopes sans faire grand-chose.
Nous avons fait nos valises immĂ©diatement et nous nous sommes habillĂ©s sans parler et sommes allĂ©s dans le hall. Nous avions tellement apprĂ©ciĂ©, et nous Ă©tions effrayĂ©s et regrettĂ©s en mĂŞme temps. On regardait la tĂ©lĂ© dans le salon. Quand j’ai dit intĂ©rieurement ” “J’aimerais pouvoir recommencer, mes parents ne reviendront pas encore”, il a dit ” “Je ne recommencerai pas” sans me tourner vers moi. Il se sentait aussi coupable. Je lui ai dit que tu savais. J’ai dit que si nous nous satisfaisons les uns les autres et ne nous faisons aucun mal, nous pouvons le faire tant que personne ne le sait.
Il n’a fait aucun bruit. . Il le voulait aussi et le regrettait en mĂŞme temps.Ses remords passèrent le mĂŞme jour. Au bout d’un moment, il est venu vers moi, a enlevĂ© son short et m’a dit allez, lèche-le. J’ai recommencĂ© Ă  lĂ©cher. Nous avons commencĂ© Ă  mieux faire l’amour au gymnase cette fois. On s’est fait lĂ©cher partout. Nous nous appelions frère et sĹ“ur. Elle disait parfois: “Comme ma mère serait en colère si elle nous voyait. moi”, disait-il. Je pense qu’il revenait un peu sur ma mère.
Nous avons donc commencĂ© et goĂ»tĂ© Ă  toutes sortes de plaisirs sexuels pendant 6 ans sans baiser. En fait, pendant que mes parents regardaient la tĂ©lĂ©vision dans le salon, j’ai mĂŞme regardĂ© le couloir de la chambre et je l’ai mis Ă  sa bouche. Je suis allĂ© dans la chambre pour distraire l’enfant de l’hĂ´te pendant le sĂ©jour, j’ai convaincu le garçon de jouer Ă  cache-cache, j’ai reculĂ© derrière la porte et j’ai lĂ©chĂ© la chatte de mon frère. Nous avons eu des souvenirs sexuels très excitants et agrĂ©ables. Puis j’ai gagnĂ© l’Ă©cole et je suis allĂ© dans une autre ville.
Nous avons pris un dĂ©cembre. Et puis tout d’un coup, il a fait froid entre nous. DĂ©c. Je n’osais mĂŞme plus parler. Je n’Ă©tais rĂ©confortĂ© que par ce que je percevais comme des signes sexuels, mais je ne pouvais jamais parler de ces jours et proposer d’ĂŞtre Ă  nouveau ensemble.Maintenant, nous sommes tous les deux mariĂ©s et nous sommes dans d’autres villes. Je me demande s’il est, comme moi, excitĂ© par la vue de souvenirs incestueux.
Bien que je l’ai regrettĂ© comme des chiens, plus tard j’ai succombĂ© Ă  moi-mĂŞme et j’ai toujours voulu mon frère incestueux. Je n’ai jamais autant aimĂ© le sexe qu’avec lui. Je me demande Ă  quoi il pense? Maintenant, avec notre Ă©tat de mariage, quand il y avait tant de possibilitĂ©s virtuelles, qui sait quel amour fou nous aurions eu, quel sexe agrĂ©able.Je rĂŞve toujours d’inceste avec mon frère

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