vk myanmar 2022 aujourd’hui Slm, c’est le printemps. J’ai 21 ans, je suis nĂ© et j’ai grandi Ă Konya. Après le lycĂ©e, j’ai passĂ© l’examen universitaire 2 fois, mais comme je n’ai jamais Ă©tudiĂ© pour l’examen, les 3 sections que je voulais ne sont pas venues non plus. Parce que je m’ennuyais beaucoup Ă la maison, j’ai vu une annonce en regardant des offres d’emploi sur le net: “Une entreprise de cosmĂ©tiques recherche une employĂ©e avec un salaire Ă©levĂ©, une bonne diction, sympathique, soignĂ©e, qui s’occupe de ses vĂŞtements, au moins une diplĂ´mĂ©e du secondaire!”il disait. En fait, ça me semblait bien, j’allais m’habiller comme je voulais, me maquiller et ne pas trop me fatiguer…
Le lendemain, je suis allĂ© au magasin. Il y avait 3 gentilles dames bien entretenues qui travaillaient dans le magasin. Nous avons eu une rĂ©union prĂ©liminaire avec Mme Jale, qui est responsable du personnel, et nous avons convenu que je devrais ĂŞtre embauchĂ©. Mais Mme Jale a dit: “Vous devez Ă©galement parler Ă notre responsable, veuillez vous rendre dans sa chambre, il sera lĂ vers 2 heures!”dit-il. Je suis entrĂ© dans la pièce et je me suis assis. J’attendais le directeur et la dame, mais la porte s’est ouverte et Emre Bey, un homme de 33 ans avec une grande corpulence, une posture haute, bien que pas très beau, agrĂ©able et calme, est entrĂ©. Nous lui avons Ă©galement parlĂ© et avons convenu que je devrais ĂŞtre embauchĂ©. Mais j’Ă©tais un peu hĂ©sitant sur les horaires de travail, car c’Ă©tait de 9 heures du matin Ă 21 heures du soir. Mes parents ne l’auraient peut-ĂŞtre pas permis. Sinon, je pensais travailler pendant 2-3 mois. Le manager m’a aimĂ© aussi et m’a dit: “Nous aurons une pĂ©riode d’essai d’un mois, si nous sommes satisfaits l’un de l’autre pendant ce processus, nous continuerons, sinon vous vous serrez la main et partez, pas de problème!”dit-il. “Eh bien!”J’ai dit:” J’ai commencĂ© Ă travailler lundi.
Au fait, avant d’oublier de me mentionner, je dois dire que je suis une jolie fille de taille moyenne, lĂ©gèrement poissonneuse, aux longues jambes, Ă la poitrine rebondie et aux hanches, brune, aux cheveux longs, aux yeux noisette. Je n’ai eu que 2 copines jusqu’Ă prĂ©sent. J’avais une relation complète avec ce dernier, alors il m’a brisĂ©. Mais parce qu’il avait une nature qui aimait la violence, peu importe Ă quel point je l’aimais, nous avons rompu. Je me sentais triste Ă propos de cette situation et il me manquait. Ça fait presque 7-8 mois que j’ai rompu avec lui. Et je n’ai jamais achetĂ© un homme de ma vie après ça, je pensais encore Ă lui parce que…
Quoi qu’il en soit, j’ai dĂ©marrĂ© cette entreprise de cosmĂ©tiques, ça se passait plutĂ´t bien. Il y avait 3 femmes qui travaillaient avec moi au travail. Toutes les 3 de ces dames Ă©taient mariĂ©es, comme vous pouvez le voir, toutes les 3 sont des portes ouvertes. Dans mes tripes (Ce manager doit tous les baiser!) Je pensais, parce qu’ils Ă©taient très amicaux avec le manager et qu’ils sucaient le mec, (Il est cĂ©libataire, putain!) J’ai dit intĂ©rieurement. Mais environ 10 jours après avoir commencĂ© Ă travailler, l’Ĺ“il du manager Emre Brain Ă©tait constamment sur moi. Je savais qu’il me regardait avec des regards Ă©vasifs, que ce soit depuis la camĂ©ra de sĂ©curitĂ© ou depuis la porte. Alors que les 3 autres femmes mĂ»res avaient envie de lui, je ne comprenais pas pourquoi le manager me regardait comme s’il me courtisait, parce que je ne lui faisais aucun visage. Mon esprit Ă©tait mon idĂ©e de l’amant avec qui j’ai rompu…
Ceux au travail avaient Ă©galement remarquĂ© l’intĂ©rĂŞt du manager pour moi et ils avaient adoptĂ© des attitudes hostiles Ă mon Ă©gard. Mais je m’en fichais, parce que j’Ă©tais le cerveau prĂ©fĂ©rĂ© d’Emre. Emre bey montre aussi ouvertement son intĂ©rĂŞt pour moi maintenant, il vient dĂ©jeuner avec moi, parfois il m’emmenait mĂŞme au travail en disant “” Je passais devant chez toi …”. Mais le fait que je n’ai pas fait la grimace le rendait fou. Que ce soit en discutant, en face Ă face, lorsque nous avons expliquĂ© Ă quel point il m’aimait, je fermais ces sujets…
nous Ă©tions près d’un mois, et un jour tout le monde est sorti dĂ©jeuner, et je ne suis pas sorti parce que j’avais mal au ventre. Emre bey n’est pas sorti non plus, mais je pensais qu’il l’avait fait. Il y a un endroit comme un entrepĂ´t au travail, je suis allĂ© lĂ – bas et j’ai pensĂ© que je m’allongerais sur le canapĂ© pendant un moment jusqu’Ă ce que les filles arrivent. En examinant les catalogues autour, la porte de l’entrepĂ´t s’est ouverte, quelqu’un descendait. Évidemment, je n’Ă©tais pas inquiet car c’Ă©tait une de nos filles, mais j’ai Ă©tĂ© surpris quand j’ai vu la Commande devant moi, j’ai tout de suite rĂ©cupĂ©rĂ©. ”Vous n’avez pas besoin d’emballer…”il a dit. Il avait une cigarette Ă la main, descendit lentement les escaliers, s’approcha de moi. J’ai rĂ©cupĂ©rĂ©: “DĂ©solĂ©, M. Emre, j’Ă©tais un peu malade, je m’allongeais un peu pour lui. Tiens, c’Ă©tait quoi?J’ai dit. Il a dit: “Tu n’es pas sorti dĂ®ner? D’ailleurs, cela fera 1 mois que j’ai commencĂ© Ă travailler ce vendredi, comment ĂŞtes-vous satisfait?”dit-il. “Oui, je suis satisfait, il n’y a pas de problème de mon point de vue, et ĂŞtes-vous satisfait de moi?J’ai dit. “Je suis Ă©galement très content de vous, vous continuerez votre travail, il n’y a qu’une dernière considĂ©ration…”il a dit. “Qu’est-ce que c’est?”quand j’ai dit, il m’a soudainement attirĂ© vers lui et a dit: “Je ne t’ai pas goĂ»tĂ©, je ne suis pas au courant de ta performance spĂ©ciale!”dit-il.
J’Ă©tais choquĂ©, c’Ă©tait comme si ce gentleman Ă©tait soudainement devenu pervers. Je l’ai poussĂ© et lui ai dit que c’Ă©tait dommage ce qu’il faisait. Quand j’ai dit que je voulais sortir de l’entrepĂ´t, que quelqu’un pourrait venir, il a dit: “Ne vous inquiĂ©tez pas, personne ne viendra, ils sont allĂ©s dans un restaurant Ă©loignĂ©, vous n’avez pas besoin d’avoir peur!”il a dit quelque chose comme ça. Au dĂ©but, j’Ă©tais très en colère, je n’avais jamais rien vĂ©cu de tel auparavant, après tout, je n’Ă©tais pas une salope. Puis j’ai pensĂ©, je n’ai pas baisĂ© depuis 7-8 mois, et si je baisais une fois. J’avais pris ma dĂ©cision, j’allais baiser le manager, mais j’allais ĂŞtre gentil et j’allais rĂ©sister, et s’il allait le faire, il allait le faire de force. Ce serait plus agrĂ©able pour nous deux…
Sans regarder son visage, il a dit: “S’il te plaĂ®t, Ă©loigne – toi, je veux sortir!J’ai dit. Je tremblais d’excitation. Il m’a attrapĂ© et m’a allongĂ© sur le canapĂ©, me tenant fermement les mains, il a dĂ©liĂ© la ceinture de mon pantalon. Sa voix m’excitait dĂ©jĂ tellement, il m’a attrapĂ© par les cheveux et a dit “ ” Es-tu vierge ou pas?”dit-il. Je disais d’une voix rauque “ ” S’il te plaĂ®t, ne pars pas, s’il te plaĂ®t…”enrouĂ©. Et il se penche sur moi comme s’il s’Ă©tait perdu, “Tu es gĂ©nial, bĂ©bĂ©, c’est un pĂ©dĂ© qui ne te dĂ©chire pas la chatte, voyons ce que ça fait de ne pas me faire la grimace!”il a dit et a baissĂ© ma culotte et a commencĂ© Ă me lĂ©cher la chatte. J’ai beaucoup aimĂ© ça, mais, ” Laisse-moi partir!” J’allais dire. Puis il m’a dit: “Si tu fais ce que je veux magnifiquement, rien de douloureux ne se passera entre nous!” Je me suis laissĂ© aller quand tu as dit. Mais je le poussais toujours…
Au moment oĂą j’ai vu ta bite, j’Ă©tais dĂ©jĂ choquĂ©, c’Ă©tait une grosse chose bombĂ©e et longue, comment pourrais-je la prendre en moi. Après m’avoir lĂ©chĂ© la chatte pendant un bon moment, il a crachĂ© sur sa main et mouillĂ© sa bite et a commencĂ© Ă se frotter entre les lèvres de ma chatte en gĂ©missant. DĂ©c. “Es-tu vierge ou pas? Allez, dis-moi!”quand il a dit:” Je ne le suis pas!”Ai-je soudainement dit. “Hmmm, je le pensais, bĂ©bĂ© c’est gĂ©nial! en disant: “il m’a fait me pencher en me retournant et a mis sa bite contre ma chatte par derrière. L’atmosphère Ă©tait calme, il n’y avait que ma respiration interrompue et mes pleurs du nombre, et les bruits de sa cornĂ©e. Il passait lentement sa bite Ă travers ma chatte en frottant et en frottant. Et quand je piquais, “J’ai devinĂ©, tu as une chatte très sans baise, oh, c’est ça!”en disant, il l’a dĂ©pensĂ© jusqu’Ă la racine. J’Ă©tais Ă bout de souffle ou quelque chose comme ça….
Au bout d’un moment, il a commencĂ© Ă faire des allers-retours. Il Ă©tait extatique maintenant. J’apprĂ©ciais ça aussi, mais on me disait toujours “ ” Assez, c’est assez…”ou quelque chose. Il a dit: “Sois juste patient, profite – en, je vais te manger la chatte, ohhhhh, je n’ai pas baisĂ© une chatte aussi serrĂ©e depuis longtemps!”il a fait des allers-retours pendant environ 20 minutes, disant quelque chose comme ça, puis: “Je serai lĂ dans une minute, alors descends, ne t’inquiète plus pour toi! Tu as aussi rĂ©ussi le procès, bĂ©bĂ©!”il me l’a arrachĂ© en me le disant et ça a explosĂ© dans mon dos…
Ça m’est restĂ© dessus pendant un moment. Puis il se leva, retira sa culotte et son pantalon, redressa son haut. J’ai emballĂ© de la mĂŞme manière. On ne parlait pas du tout. Il est venu m’embrasser une fois et nous sommes allĂ©s au magasin. environ 10 minutes plus tard, les autres femmes sont arrivĂ©es. Nous avons terminĂ© cette journĂ©e comme si de rien n’Ă©tait. Mais je ne suis pas allĂ©e travailler après mon fils, j’ai dit Ă sĹ“ur Jale que je voulais partir, et elle a dit l’Ordre, bien sĂ»r. Mais Emre m’appelait tous les jours, suppliait et suppliait, me convainquait Ă nouveau et je recommençais Ă travailler.
Cela fait exactement 2 mois que j’ai recommencĂ©, et d’ailleurs, je suis la seule favorite de l’Ordre, elle ne donne de visage Ă aucune des autres femmes. DĂ©c. Bien sĂ»r, ils sont tous fous de cette situation. Mais je n’ai forcĂ© personne Ă faire quoi que ce soit, après tout. Après la première baise, Emre m’a baisĂ© une fois de plus (dans la voiture). C’Ă©tait très agrĂ©able, mais je ne le donne pas si souvent, pour ne pas Ă©chapper au goĂ»t. Voyons oĂą ce travail ira comme ça…