maman et beau-fils Je m’appelle Ardunç j’ai 23 ans je suis un gros jeune homme, j’Ă©tudie besyo et j’ai un excellent physique, je suis originaire d’Izmir mais nous vivons Ă istanbul. Je vais vous raconter un moment que j’ai passĂ© avec la femme de mon oncle, qui a vĂ©cu Ă cent pour cent correctement, la femme de mon oncle porte des vĂŞtements serrĂ©s tout le temps, très diffĂ©rents des femmes mariĂ©es standard, elles ont de tels leggings que vous pouvez littĂ©ralement voir les rides au soleil Ă la lumière.
Quoi qu’il en soit, les vacances d’Ă©tĂ© sont arrivĂ©es, je suis rentrĂ© de l’Ă©cole Ă Istanbul, j’ai fait une tournĂ©e en famille comme d’habitude, je me suis arrĂŞtĂ© chez mes oncles, mon oncle n’Ă©tait pas Ă la maison , ma tante est venue discutons, votre oncle a dit qu’il viendrait le soir et resterait avec nous, j’ai dit que je le ferais, il cuisinait dans la cuisine, je surveillais constamment sa cuisse parfaite, il y avait des collants blancs en dessous et des culottes Ă imprimĂ© lĂ©opard dans quoi que ce soit le soir, mon oncle est venu et nous avons bavardĂ©, mais il Ă©tait Ă©vident qu’il n’avait aucune relation avec Decoy, il passait Ă la tĂ©lĂ© sans mĂŞme bavarder.
Quand j’ai dit que j’avais entamĂ© une conversation avec mon Leurre, j’ai demandĂ© si les choses allaient mal entre eux, il a dit que la pièce Ă©tait un citron, il a essayĂ© de le faire passer, quand je suis devenu plus insistant, il a renversĂ©, a dit que mon oncle l’avait trompĂ© et que leur vie sexuelle Ă©tait terrible, mais il n’a pas pu s’en empĂŞcher, quand j’ai dit que je devais, il a dit: “que feriez-vous si c’Ă©tait vous”, j’ai dit: “Je partirais.”La chambre a dit ”“ ce n’est pas facile, coluk, il n’y a pas d’argent”, ai-je dit,” alors j’oublierais.”La pièce a dit ”” ce n’est pas oublié“, alors j’ai dit: ”alors je tricherais aussi, je me dĂ©tendrais.”
Ma belle-sĹ“ur a souri Ă cela et a dit: “wow, ce n’est pas une mauvaise idĂ©e… mais avec qui ?”il m’a regardĂ© dans les yeux en disant.J’ai dit: “pas avec tout le monde maintenant, il menace, il veut toujours, et quiconque voit promettra”, “ce n’est pas facile”, ai-je dit. La pièce a dit ” “alors il sera près de moi, il connaĂ®tra mon problème, je connais quelqu’un qui m’aidera avec ça”, et il me surveillait constamment, puis il est sorti avec ses mains de mes jambes Ă mon entrejambe, j’Ă©tais sans voix, je ne pouvais rien dire. Puis il a appelĂ© mon oncle en disant” “nous allons avoir des ennuis avec Ardunç, ne nous dĂ©rangez pas”, a fermĂ© la porte de la cuisine, l’a verrouillĂ©e et s’est assis directement sur mes genoux et s’est collĂ© Ă mes lèvres, il semblait qu’il attendait ce moment depuis des annĂ©es, et je l’exploitais, caressant son gros cul avec mes mains…
Soudain, il s’est levĂ© et a dit: Ӎa suffit”, je pensais que c’Ă©tait fini, mais ma tante commençait Ă peine, soudain, elle est passĂ©e sous la table et a dĂ©compressĂ© mon pantalon, a pris ma bite dans sa main et l’a portĂ©e directement Ă sa bouche, aspirĂ© l’aspirateur avec l’aspirateur, l’a laissĂ© Ă un moment donnĂ© et a souri en disant” ” ne jouis plus, nous continuerons”, alors je lui ai touchĂ© l’Ă©paule pour me lever, l’ai emmenĂ©e directement au comptoir, lui ai dit de lui casser la taille, j’ai caressĂ© ses collants blancs, l’ai caressĂ©e, elle est restĂ©e devant moi avec lĂ©opard Culotte parĂ©e, et j’ai enlevĂ© ma culotte sur le cĂ´tĂ©, je n’ai pas enlevĂ©, j’ai pris ma bite et versĂ© un peu d’huile sur le comptoir et je suis entrĂ© dans sa chatte avec prĂ©cipitation, d’abord elle allait dire ”ihhhmmm”, mais elle se mordait les doigts, j’Ă©tais comme un imbĂ©cile, Ă la fois Ă cause de la peur de l’arrivĂ©e de mon oncle et parce que ce cul magnifique a heurtĂ© mon entrejambe.
J’ai baisĂ© ma nourriture comme ça pendant un moment, puis je l’ai mise sur une chaise et j’ai pris ses petits pieds dans mes mains, j’ai commencĂ© Ă les frotter contre ma bite, elle avait du vernis Ă ongles noir sur ses doigts, elle avait des relations sexuelles avec les pieds comme une chienne, je n’en pouvais plus et j’ai commencĂ© Ă Ă©jaculer sur ses pieds, ma tante souriait, s’est levĂ©e et a nettoyĂ© ses pieds avec un chiffon, puis elle a remontĂ© ses collants et s’est assise Ă cĂ´tĂ© de moi, a allumĂ© un panneau d’orgasme, m’a regardĂ© dans les yeux et a ri en disant: ”c’Ă©tait très bien”, ”mais je ne me suis pas encore dĂ©tendue.”