verre cachĂ© J’ai un ami dont je suis trĂšs proche, il organise constamment des rĂ©unions pour baiser avec des travestis le week-end, et la derniĂšre fois qu’il y est allĂ©, il m’a proposĂ©: âviens, allons-y ensemble, goĂ»tez-y, je suis sĂ»r que ça te plairaâ, a-t-il dit. Je n’ai jamais couchĂ© avec des travestis auparavant, mais en acceptant cette offre, nous sommes allĂ©s chez deux travestis arrangĂ©s par lui Ă la fin de la semaine derniĂšre. Avant de rentrer Ă la maison, nous avons achetĂ© quelques boissons Ă boire, de la nourriture, etc., nous avons pris tout ce dont nous avions besoin au travail et sommes allĂ©s Ă l’adresse qui nous avait Ă©tĂ© donnĂ©e. MĂȘme si je disais des choses comme âJe n’entrerai mĂȘme pas si elles ne sont pas jolies, de toute façon, j’aurais aimĂ© ne pas ĂȘtre venueâ Ă mon amie Ă chaque fois jusqu’Ă ce que je rentre Ă la maison, je pensais qu’elles Ă©taient toutes les deux des femmes lorsque les travestis ont ouvert la porte, et croyez-moi, quand je les ai vues pour la premiĂšre fois, je pensais qu’elles Ă©taient des amies de travestis ou quelque chose comme ça.
Quand je suis entrĂ©, j’ai rĂ©alisĂ© qu’il n’y avait personne d’autre dans la maison qu’eux, et au fur et Ă mesure que la conversation avançait, j’ai cru qu’ils Ă©taient nĂ©cessairement du travertin. Tout Ă l’heure, alors que je me moquais de mon ami que tu m’avais forcĂ© Ă venir ici, j’ai soudainement commencĂ© Ă dire: âJ’aurais aimĂ© ĂȘtre venu plus tĂŽt.”D’abord, pendant que nous buvions et mangions ce que nous avions apportĂ© dans le couloir, j’ai fait un signe sourcil Ă mon amie et j’ai chuchotĂ©: âJe suis le travesti rouge, ne la regarde pas.â Il n’y avait de toute façon aucun problĂšme pour lui, car il Ă©tait gĂ©nĂ©ralement intĂ©ressĂ© Ă baiser avec des travestis, il n’a jamais remarquĂ© un travesti roux ou brun. AprĂšs avoir posĂ© les yeux sur le rouge, nous avons bu quelques verres de plus et avons lentement commencĂ© Ă nous embrasser. Nous Ă©tions mutuels quand je suis entrĂ© pour la premiĂšre fois et que je me suis assis dans le salon, mais lorsque les tĂȘtes ont progressivement commencĂ© Ă devenir belles, elle s’est levĂ©e et est venue vers moi parce que je jetais constamment du travail sur la rouge.
La transexuelle brune s’est levĂ©e et a attrapĂ© la main de mon amie et l’a tirĂ©e Ă cĂŽtĂ© d’elle, pendant que je discutais avec la rousse, la transexuelle brune avait dĂ©jĂ mis sa main sur la bite de mon amie et avait commencĂ© Ă la caresser. La rousse prenait les choses un peu lentement, mais bientĂŽt elle a tentĂ© la mienne et a jetĂ© sa main sur ma bite comme une travestie brune. Pendant qu’il attrapait ma bite, je lui caressais les jambes, je ne prenais pas ma main sur les seins parce qu’il avait une bite, mais mĂȘme lui caresser les jambes comme une colonne suffisait Ă m’exciter. Nous avons continuĂ© Ă nous asseoir et Ă nous toucher les mains et Ă discuter avec des travestis dans le couloir jusqu’Ă la fin de nos verres. Vers la fin des verres, ma transexuelle s’est levĂ©e et a dit: âallez, mon mari, allons dans notre chambre maintenant, mon trou du cul commence Ă me dĂ©mangerâ, m’a ramassĂ© d’oĂč j’Ă©tais assise en me tenant la main et m’a poussĂ© dans l’une des chambres.
Ă ce moment-lĂ , mon amie et son travesti brune s’embrassaient lĂšvres contre lĂšvres et continuaient Ă se caresser. AprĂšs ĂȘtre entrĂ© dans la chambre, je n’ai mĂȘme jamais touchĂ© ma main pour enlever mes vĂȘtements, mon travesti a soigneusement enlevĂ© tout ce que je portais, m’a allongĂ© sur le lit et a commencĂ© Ă se dĂ©shabiller devant moi. Elle a enlevĂ© tout ce qu’elle portait et se tenait juste debout avec sa culotte en dessous, j’Ă©tais si haut, et mon monde tournait Ă l’envers quand nous sommes entrĂ©s dans la piĂšce. Ma transexuelle est venue vers moi avec seulement une culotte violette et a commencĂ© Ă embrasser et Ă renifler ma bite, qui se tenait Ă l’air libre en attendant de devenir dure. Il a pris ma bite dans sa bouche comme ça, croyez-moi, au bout de quelques secondes, ma bite s’Ă©tait durcie. DĂ©c. Quand il l’a pris pour la premiĂšre fois dans sa bouche, il l’a pris complĂštement, mais aprĂšs qu’il se soit durci, il ne pouvait mettre que la partie de la tĂȘte dans sa bouche. Suçant la tĂȘte de ma bite, il lĂ©cha les eaux de plaisir qui coulaient de la pointe pendant des minutes.
Maintenant, si je suis quelqu’un qui Ă©crit une histoire de sexe pour la premiĂšre fois, j’ai lu l’histoire plusieurs fois, et pour une raison quelconque, les bites des hommes deviennent grosses dans chaque histoire que je lis, c’est ce que je dis maintenant, mais je ne vais pas vous vendre en mentant sur la taille de ma bite :). Comme je l’ai dit, quand ma bite est devenue dure, le travesti rouge n’a pris que la partie de la tĂȘte dans sa bouche et a commencĂ© Ă sucer comme un fou, elle Ă©tait si heureuse parce que ma bite Ă©tait grosse qu’elle a sorti ma bite de sa bouche et a dit, âJe n’ai pas eu cette grosse dans ma bouche depuis longtempsâ et a continuĂ© Ă lĂ©cher ma bite pendant des minutes. Je n’avais pas l’intention d’Ă©jaculer si facilement sous l’influence de l’alcool, alors je l’ai laissĂ© le lĂ©cher pendant un long moment. Je ne suce normalement pas si longtemps, mais comme je l’ai dit, l’alcool est comme ça :). Bien sĂ»r, au bout d’un moment, j’en ai eu marre de baiser la bouche du travesti et j’ai dit: âallez, monte sur moi, chĂ©rie, je veux goĂ»ter ce trou du cul.â
Pendant que je disais ces choses, le travesti excitĂ© a non seulement lĂ©chĂ© ma bite, mais a Ă©galement commencĂ© Ă la caresser en mettant son doigt sur mon trou du cul. Je ne sais pas, peut-ĂȘtre que je lui ai donnĂ© un message du dibâ baise-moi aussi”, je ne suis pas sĂ»r, mais quand il a mis son doigt sur mon trou du cul et a commencĂ© Ă le caresser, j’ai soudainement ouvert les yeux et je me suis dit: “qu’est-ce que c’est que ça?”Mais d’une part, lĂ©cher ma bite d’autre part, caresser mon trou du cul me donnait plus de plaisir de l’intĂ©rieur, alors je ne lui ai pas dit d’arrĂȘter. AprĂšs avoir caressĂ© mon trou du cul pendant un moment, j’ai commencĂ© Ă attendre qu’il vienne sur moi et prenne ma bite, mais cela n’a pas fonctionnĂ© comme je m’y attendais, le travesti ne se contentait pas de tenir son doigt sur mon trou du cul et a commencĂ© Ă me doigter le cul. Je ne connaissais pas la race parce que je n’avais jamais couchĂ© avec des femmes auparavant, j’aurais peut-ĂȘtre pu venir ici et dire: âJe baise aussi.â
Je veux dire, je pensais qu’il y avait une rĂšgle comme si vous couchez avec un travesti, vous baiserez, mais je n’avais aucune intention de me baiser si facilement, bien sĂ»r, cela a vite changĂ©, car lorsque le travesti a poussĂ© ma bite dans sa gorge et a commencĂ© Ă doigter mon trou du cul, j’ai commencĂ© Ă en profiter. Je veux dire, doigter mon cul et lĂ©cher ma bite en mĂȘme temps n’est pas quelque chose qui m’est jamais arrivĂ© auparavant, mais je peux dire que je n’Ă©tais pas d’humeur Ă rĂ©sister Ă cause du plaisir que j’ai eu Ă ce moment-lĂ . AprĂšs peut-ĂȘtre dix minutes passĂ©es Ă me doigter le cul et Ă sucer ma bite, le travesti a sorti son doigt de mon cul, s’est mis sur moi et m’a emmenĂ© Ă travers le trou du cul. Il l’avait enlevĂ© dans son caleçon Ă ce moment-lĂ , et tout en me sautant dessus, sa bite durcie n’arrĂȘtait pas de monter et descendre.
La bite du travesti me frappait parfois le ventre comme ça, en disant littĂ©ralement â”Je suis lĂ .”Pendant qu’il continuait Ă me sauter dessus, il me caressait les couilles avec sa main d’une part et dĂ©plaçait sa main entre mes jambes pour doigter Ă nouveau mon trou du cul. DĂ©c. Peut-ĂȘtre que j’aurais pu dire âarrĂȘte de ne pas” Ă ce moment-lĂ , mais je ne lui ai pas dit d’arrĂȘter parce que j’aime me faire doigter le trou du cul, la piĂšce ne s’est pas arrĂȘtĂ©e de toute façon. Pendant qu’il mettait son doigt dans mon cul et me sautait dessus, j’ai fermĂ© les yeux et j’ai commencĂ© Ă profiter de la baise en m’allongeant confortablement en arriĂšre. Elle gĂ©missait si joliment en me sautant dessus, elle n’Ă©tait pas diffĂ©rente d’une femme, gĂ©missant pendant un moment, et aprĂšs s’ĂȘtre baisĂ©e et m’avoir doigtĂ© le cul, elle a demandĂ©: âle veux-tu aussiâ. Je savais ce qu’il voulait dire quand il l’a demandĂ© pour la premiĂšre fois, et j’ai dit: âpourquoi pasâ, mĂȘme si cela ne semblait pas trĂšs intelligent au dĂ©but.