tchat de coco Bonjour les amis, je suis en fait une fille de 18 ans, grande, lĂ©gèrement louche, blonde aux cheveux blonds et aux grandes lèvres. Ma famille est riche, mon père a une entreprise. Je suis diplĂ´mĂ© d’un collège privĂ©, j’irai Ă l’universitĂ© si j’ai de la chance. J’ai embrassĂ© des copains une ou deux fois Ă l’universitĂ©, mais je n’aimais pas ça. Au contraire, il y avait un autre type de rapprochement entre Deca, qui Ă©tait mon ami de l’universitĂ©. On se demandait tous les deux Ă quoi ça ressemblerait d’embrasser une fille. Notre baiser expĂ©rimental s’est transformĂ© en sexe entre filles, et j’ai vraiment aimĂ© sortir avec Eda. Nous faisons l’amour chaque fois que nous en avons l’occasion depuis environ un an.
Mais c’est un autre incident que je vais dĂ©crire. J’ai demandĂ© un permis de conduire il y a deux mois. Cemil abi, qui travaille dans l’entreprise de mon père, a Ă©galement Ă©tĂ© chargĂ© de m’apprendre Ă conduire selon les instructions de mon père. Je connais frère Cemil depuis que je suis un petit garçon, c’est un grand et bel homme, 50-55 ans, dans son propre Ă©tat. Le jour oĂą j’allais faire du pilotage avec Cemil abi pour la première fois, Eda Ă©tait lĂ avec moi. Après que Cemil abi m’ait montrĂ© comment conduire pendant environ une heure, il a dit “ ” Cela suffit pour une journĂ©e!”en disant cela, il nous a laissĂ©s Ă la maison et est lui – mĂŞme retournĂ© dans l’entreprise.
Marchant vers l’appartement, Eda a dit: “Ma fille en fait, je suis Ă©puisĂ©e, ma fille!”quand il a dit:” Qu’est-ce qui s’est passĂ©, qu’est-ce qui ne va pas?J’ai dit. Eda a dit: “Allons dans la maison tout de suite!”il disait. Mais en attendant, il a attirĂ© mon attention, Eda marchait Ă la hâte, mettant le sac dans sa main devant Dec. Quand il est entrĂ© dans l’ascenseur, il a sorti le sac devant lui, qui imbibait dĂ©cemment le pantalon qu’il portait entre les jambes, c’est-Ă -dire lĂ oĂą se trouvait sa chatte. “Fille, qu’est-ce que c’est que ça?J’ai dit. Eda a dit: “Frère Cemil Varya, voici son odeur et son doux discours, et ce grand posu m’a en fait achevĂ©! Je ne sais pas combien de fois je viens de caresser ma chatte Ă l’arrière pendant que tu essaies de conduire Ă l’avant!”ne dirait – il pas. “Eda, tu es folle, ma fille!J’ai dit. Nous sommes entrĂ©s dans la maison. Maman n’Ă©tait pas lĂ , papa Ă©tait dĂ©jĂ dans l’entreprise, donc la maison Ă©tait vide. Eda a dit: “Je vais prendre une douche rapide!”il a dit” et est allĂ© directement dans la salle de bain. Alors je suis allĂ© dans ma chambre, je me suis jetĂ© sur le lit, je me sentais un peu fatiguĂ©.
J’Ă©tais allongĂ© dans mon lit en pensant Ă ce qu’Eda avait dit. Je connais frère Cemil depuis des annĂ©es, mais je ne l’ai jamais regardĂ© de cette façon. Il ne m’a jamais regardĂ© d’un mauvais Ĺ“il, et il m’a toujours approchĂ© avec la compassion d’un père. Mais après qu’Eda ait dit ces choses, je pensais qu’en fait, Cemil abi Ă©tait un homme très beau et sexy. Eda est sortie de la salle de bain un peu plus tard, elle est venue en peignoir. Il s’est allongĂ© Ă cĂ´tĂ© de moi et a continuĂ© Ă traiter Cemil abi dans mon esprit “ ” En fait, ma fille, Cemil abi est une personne mature, belle, charismatique et attentionnĂ©e. De plus, il est Ă votre disposition quand vous le souhaitez. Si j’Ă©tais ce que je ferais, je lui ferais l’amour!”dit-il. Bien sĂ»r, pendant qu’il disait ces choses, sa main se dĂ©plaçait autour de mes seins, attrapant, serrant, caressant mes seins. “Allez, Eda, si maman vient soudainement ou quelque chose comme ça, ce ne sera pas bien si elle nous voit comme ça!“plus il en dit, plus il m’excite, ” Ohhh, maintenant imagine ton frère Cemil caressant tes seins!”il disait.
J’Ă©tais comme, ” Fille, ne le fais pas!”Je disais, mais Eda a enlevĂ© sa robe et est restĂ©e nue et a dit “” Regardez en fait, quand j’ai pensĂ© Ă frère Cemil, ma chatte a encore arrosĂ©!”alors il a pris ma main et l’a prise dans sa chatte humide et l’a mise lĂ . Sa chatte Ă©tait comme un feu, ” Eda fille, tu es en feu!”dès que je l’ai dit, ça m’est restĂ© sur les lèvres. Il mettait sa langue dans ma bouche, suçait ma langue. Il m’a Ă©normĂ©ment excitĂ© aussi. “Fille, arrĂŞte, je vais appeler ma mère!”J’ai dit :” Je me suis dĂ©barrassĂ© de l’or par la force. J’ai appelĂ© ma mère et lui ai demandĂ© quand elle arriverait. Ma mère a dit: “Qu’y a-t-il, ma fille, quelque chose ne va pas?”dit-il. “Non, maman, je suis Ă la maison avec Eda. Je me demandais juste quand je ne t’ai pas vu Ă la maison!J’ai dit. Maman a dit: “J’ai du travail, ma fille, je serai lĂ dans deux heures!”dit-il. Quand il a raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone, il a dit “”C’est arrivĂ© maintenant!”J’ai dit:” Je suis tombĂ© amoureux d’Eda. Nous avons couchĂ© avec Eda pendant plus d’une heure, elle avait 69 ans et nous nous sommes satisfaits mutuellement. En faisant l’amour, Eda a dit: “J’aimerais que Decemil abi soit parmi nous maintenant et me baise!”il disait. Plus Eda parlait comme ça, plus je voulais mon cher frère Cemil.
Après cette journĂ©e, j’ai commencĂ© Ă porter des vĂŞtements plus lĂ©gers et plus sexy et Ă donner des coups francs aux robes de soirĂ©e Cemil lors des cours de conduite. Dès que j’en ai eu l’occasion, je la piquais davantage, me frottais contre elle, de temps en temps je posais ma main sur sa main et faisais semblant de la caresser. Mais frère Cemil ne m’a jamais donnĂ© de laissez-passer. Les jours passaient comme ça, et le jour de mon examen approchait. La veille de l’examen, Cemil abi m’a remis le papier d’examen et m’a dit: “VoilĂ , tu seras Ă l’examen demain matin Ă 08h00! Allez, en fait, prends le volant, je vais te montrer pour la dernière fois aujourd’hui!”dit-il. Nous sommes allĂ©s ensemble Ă l’endroit oĂą l’examen de conduite devait avoir lieu, pour Ă©tudier pour la dernière fois.
J’Ă©tais très excitĂ© par ce qui m’est arrivĂ© ce jour-lĂ , je faisais exactement le contraire de ce que tu as dit. “Que s’est-il rĂ©ellement passĂ©? Pourquoi tu fais ça mal?”il dit, me critiquant Ă juste titre, qu’il montrait la bonne chose. Quand j’ai fait quelques erreurs de plus, il a dit: “ArrĂŞte la voiture, descends! Qu’est-ce qui t’est arrivĂ©, ma fille? Tu sembles avoir oubliĂ© les choses que tu fais si bien!”dit-il. On a changĂ© de place, et j’ai commencĂ© Ă pleurer. Cemil abi, ” Qu’est-ce qui s’est passĂ©, ma fille? Pourquoi pleures-tu vraiment?”il dit qu’il me caressait les cheveux. Je pleurais: “Je n’y arrive tout simplement pas, je ne rĂ©ussirai pas l’examen demain!J’ai dit. Frère Cemil a tirĂ© ma tĂŞte vers sa poitrine, s’est penchĂ© en arrière, “Ne pleure pas ma fille, tu vas rĂ©ussir cet examen!”il me rĂ©confortait en disant, en caressant mes cheveux.
Je me suis calmĂ© pendant un moment, mes pleurs ont cessĂ©. Cemil abi, ” Lève la tĂŞte, regarde-moi en fait!”quand j’ai dit: “nous sommes venus lèvre contre lèvre avec moi en levant la tĂŞte. Quoi qu’il se soit passĂ© Ă ce moment-lĂ , nos lèvres se sont rencontrĂ©es. On s’embrassait. Ses lèvres chaudes brĂ»laient mes lèvres. Mais soudain, il m’a poussĂ© et m’a dit: “Qu’est-ce que je fais, non, en fait, je suis dĂ©solĂ©!”dit-il. J’embrassai Ă nouveau ses lèvres sans lui laisser une chance. Alors qu’il s’enfuyait, j’ai insistĂ©. Puis il cĂ©da et lui rendit la pareille. Maintenant, nous nous embrassions Ă nouveau sauvagement, suçant. En mĂŞme temps, une main serrait mes seins, les caressait, me rendait folle. Soudain, nous avons repris conscience avec le son d’une corne, les gens allaient et venaient de lĂ et nous voyaient juste comme ça. Cemil abi a dĂ©marrĂ© la voiture, nous sommes partis de lĂ , nous nous sommes arrĂŞtĂ©s dans un endroit isolé…
Je pensais qu’on allait continuer Ă s’embrasser, je me suis collĂ© Ă tes lèvres Ă nouveau. Mais Cemil abi n’a pas rĂ©pondu: “En fait, revenons Ă nous-mĂŞmes, ma fille, nous le faisons mal!”dit-il. Il a dit: “Non, en fait!”plus j’en disais, plus je le voulais. J’ai mis ma main sur ses peluches devant lui, j’ai attrapĂ© sa bite Ă travers son pantalon. Il Ă©tait comme une pierre. “En fait, attends, qu’est-ce que tu fais?”quand il a dit :” Je veux que tu me baises, frère Cemil!J’ai dit. “Ce n’est pas du tout ce que tu as dit!”dit-il. Mais je n’ai pas Ă©coutĂ©, je l’ai dĂ©compressĂ©e, j’ai sorti sa bite. C’Ă©tait la première fois que je voyais un coq vivant, sa queue Ă©tait Ă©norme et très Ă©paisse, elle ne tenait pas dans ma paume. J’ai commencĂ© Ă caresser sa bite. Frère Cemil ferma les yeux, juste assis lĂ , mais il n’arrĂŞtait pas de dire: “Non, en fait, ce n’est pas vrai …”. Puis soudain, il s’est levĂ©, est sorti de la voiture et m’a sorti de la voiture par mon bras…
Il a ouvert la porte de derrière, m’a laissĂ© entrer et il est venu vers moi. L’arrière de la voiture Ă©tait plus large que l’avant. Il m’a embrassĂ©, a sucĂ© mes lèvres, les a lĂ©chĂ©es, puis a embrassĂ© mon cou et dĂ©boutonnĂ© ma chemise. Il me rendait folle en caressant mes seins par-dessus mon soutien-gorge. Et je ne restais pas les bras croisĂ©s, je le dĂ©compressais et caressais sa queue. Frère Cemil n’a pas lĂ©chĂ©, n’a pas sucĂ©, n’a pas embrassĂ©, n’a pas quittĂ© ma place. Il a dĂ©shabillĂ© ma jupe, qui Ă©tait dĂ©jĂ mini, jusqu’Ă ma taille et a tirĂ© mon string sur le cĂ´tĂ© et a embrassĂ© ma chatte. Il a sucĂ© chaque point de ma chatte, l’a lĂ©chĂ©. Mais alors qu’il suçait les lèvres de ma chatte, lĂ©chait mon clitoris, je me tordais, gĂ©missais, “Baise-moi!” Je disais. Et il baisait ma chatte avec sa langue. Avant que je sache ce qui se passait, je convulsais terriblement, tremblais, et j’ai eu un orgasme et Ă©jaculĂ©. Cemil abi a sucĂ© tous mes fluides qui coulaient de ma chatte, lĂ©ché…
Puis il s’est redressĂ© et m’a attrapĂ© la tĂŞte, a mis sa bite dans ma bouche, “C’est en fait ton tour, allez, suce ma bite!”dit-il. J’allais lĂ©cher des bites pour la première fois. “Lèche-le comme une glace, prends-le dans ta bouche!”dit-il. Je bougeais lentement ma langue autour de la tĂŞte de ta bite comme un champignon, la lĂ©chant. J’ai eu du mal Ă mettre sa tĂŞte dans ma bouche. Et il appuyait sur ma tĂŞte avec sa main, essayant de tout mettre dans ma bouche. Mais je ne pouvais en prendre que la moitiĂ© dans ma bouche. après 10 minutes, Cemil abi s’est contractĂ©e, a grognĂ©, gĂ©mi et a explosĂ© dans ma bouche comme un volcan. L’intĂ©rieur de ma bouche Ă©tait rempli de sperme chaud. Il avait un goĂ»t lĂ©gèrement aigre.
Il pressait encore ma tĂŞte avec sa main, j’avais avalĂ© tout son sperme avec difficultĂ©. Je me sentais nausĂ©eux, comme si j’allais vomir. Quand il m’a lâchĂ© la tĂŞte, j’ai sorti sa bite de ma bouche. J’Ă©tais Ă bout de souffle. Il a lĂ©chĂ© sa bite Ă fond, l’a nettoyĂ©. Et puis il a dit: “Ça suffit, en fait, allez, fais tes valises, il est tard, allons-y!”dit-il. “Alors, tu ne vas pas me baiser?J’ai dit. “Non, je peux pas, tu es vierge!”dit-il. “Alors baise mon cul!J’ai dit. “Tu fais tes valises maintenant, allons-y, passe l’examen de conduite demain, on aura de belles choses avec toi!”il a dit, il m’a convaincu. Il m’a dĂ©posĂ© Ă la maison ce jour-lĂ et est parti…
Le lendemain, mon père m’a emmenĂ© Ă l’examen. J’ai passĂ© l’examen et j’ai gagnĂ©. Après que mon père m’ait laissĂ© Ă la maison et soit allĂ© Ă l’entreprise, mon premier travail a Ă©tĂ© d’appeler Cemil abi. Son tĂ©lĂ©phone sonnait, mais il ne dĂ©crochait pas. Il n’a pas dĂ©crochĂ© son tĂ©lĂ©phone le lendemain non plus. Il ne rĂ©pondait pas Ă mes messages non plus. J’ai essayĂ© tous les jours, mais je n’ai pas obtenu de rĂ©sultats…
Cela faisait 15 jours, et mon père et ma mère partaient Ă l’Ă©tranger chez ma sĹ“ur. Il a dit Ă mon père: “Puis-je conduire la voiture de ma mère quand tu partiras?J’ai dit. Mon père a dit: “Non, tu ne peux pas encore conduire seul!”dit-il. Ma mère a dit: “Oui, pas seule, mais disons Ă Cemil efendi, vous pouvez vous promener ensemble pendant votre temps libre, l’utiliser en ville, vous y habituer!”quand il a dit, mon père a dit:” D’accord, je vais parler Ă Cemil efendi!”dit-il. Puis j’ai envoyĂ© un texto Ă Cemil abiy “ ” Je t’appelle, je t’envoie un texto, tu ne rĂ©ponds pas, voyons ce que tu vas dire Ă mon père!”parce que.
Mes parents Ă©taient partis Ă l’Ă©tranger, et ils m’avaient confiĂ©e Ă ma grand-mère. Grand-mère avait une fĂŞte konken le mercredi, alors je me suis arrangĂ© pour ce jour-lĂ , je suis restĂ© Ă la maison. Lorsque ma grand-mère a quittĂ© la maison vers 10h00, j’ai immĂ©diatement appelĂ© l’entreprise de mon père. Le secrĂ©taire a dit: “S’il te plaĂ®t, envoie frère Cemil, j’ai besoin d’aller Ă un endroit d’urgence en voiture!J’ai dit. J’ai raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone et j’ai attendu. Peu de temps après, mon tĂ©lĂ©phone portable a sonnĂ©. C’est le frère de Cemil qui a appelĂ© “ ” En fait, oĂą vas-tu aller?”dit-il. J’ai dit “ ” Je vais Ă l’anniversaire d’Eda. Je suis chez moi, viens vite!”j’ai dit” et j’ai raccrochĂ© le tĂ©lĂ©phone…