Encore une fois, par une nuit dâĂ©tĂ© si chaude, je mâĂ©tais couchĂ©e avec seulement une chemise de nuit courte et fine, je nâavais que ma culotte sous ma chemise de nuit. Il ne pouvait pas dormir Ă cause de la chaleur. Il Ă©tait probablement environ 02h00 du soir, jâai entendu des gĂ©missements provenant du salon. Je savais quâil nây avait personne Ă la maison Ă part ma tante et moi. Peut-ĂȘtre que ma belle-sĆur sâest levĂ©e et est allĂ©e au salon parce quâelle Ă©tait malade. âBelle-sĆur, quây a-t-il, es-tu malade?âquand je suis entrĂ© dans le salon, ma belle-sĆur Ă©tait assise nue devant la tĂ©lĂ©, une main sur le bout de ses seins, une main dans sa chatte, se caressant. Quand ma tante mâa vu, elle sâest soudainement rĂ©tablie et a commencĂ© Ă rire: âNon ayol, je suis excitĂ©e!âdit-il.
Quand il a vu que jâĂ©tais lĂ confuse, il a dit: âMa fille, viens voir ce quâil y a Ă la tĂ©lĂ©!âil lâa appelĂ©e. JâĂ©tais curieux, je suis allĂ© vers lui, jâai regardĂ©, ma belle-sĆur a trouvĂ© une chaĂźne pĂžrnĂž du satellite et la regardait. Dans le film, un homme a obligĂ© une femme Ă se pencher, a mis sa bite dans sa chatte et lâa retirĂ©e par derriĂšre. Tam, â Honte belle-soeur yaaa!â Je mâenfuyais en disant, ma belle-sĆur mâa attrapĂ© par le bras ââ Quelle honte, ma fille, viens apprendre Ă baiser, tu vas manger cette bite un jour de toute façon!âil a dit, et mâa tirĂ© par le bras et mâa assis Ă cĂŽtĂ© de lui. En fait, jâĂ©tais aussi trĂšs curieux, je nâavais jamais regardĂ© de films comme celui-ci auparavant. Je me suis assis tranquillement et curieusement en regardant le film. Belle-sĆur, â Ma fille, tu ne sonnes pas du tout, ou est-ce quâils tâont aussi donnĂ© la bite?âil a demandĂ©. âNon, non, non! Tante, nâest-ce pas dommage, je ne suis quâune fille!Jâai dit. âAllez, lĂąche tes pieds purs, tu penses que je ne vois pas les garçons te poursuivre? Si tu ne lâas pas baisĂ©, tu as dĂ» le toucher ou le lĂ©cher!âdit-il.
JâĂ©tais choquĂ© que ma belle-sĆur parle comme ça, et en plus, ma belle-sĆur a mis sa main sous ma chemise de nuit et mâa caressĂ© les jambes. Je pouvais sentir ma chatte se mouiller. Pendant que jâĂ©tais sans voix en regardant les gens dans le film baiser, ma belle-sĆur me mettait des baisers dans le cou. Jâavais trĂšs honte de Biryan, mais dâun cĂŽtĂ©, je nâarrĂȘtais pas ma tante parce quâelle Ă©tait une femme de toute façon. Ma belle-sĆur a glissĂ© sa main entre mes jambes, et quand elle est venue vers ma chatte, jâai fermĂ© mes jambes et jâai dit â â Allez, belle-sĆur, Dech!âJâai gĂ©mi. Ma tante a embrassĂ© mon lobe dâoreille et a dit: âJe ne fais rien, ma fille, laisse-toi tranquille, tu verras que ça te plaira beaucoup!âil mâa chuchotĂ© Ă lâoreille. Jâai de nouveau Ă©cartĂ© les jambes et ma belle-sĆur a commencĂ© Ă me caresser la chatte par-dessus ma culotte. De lâautre main, il a baissĂ© les bretelles de ma chemise de nuit. Maintenant, mes seins Ă©taient Ă©galement exposĂ©s et je faisais du skateboard sur le canapĂ©âŠ
Pendant que ma tante me caressait la chatte, elle suçait le bout de mes seins en mĂȘme temps. Je me sentais Ă©trange Ă lâintĂ©rieur, jâai commencĂ© Ă gĂ©mir. Ma belle-sĆur insĂ©rait maintenant ses doigts dans ma culotte, caressant les lĂšvres de ma chatte, serrant mon clitoris. DĂ©c. De lâautre main, il caressait le bout du sein, le serrant. Il mâa dit Ă lâoreille: âMaintenant, je vais te faire goĂ»ter le meilleur plaisir, et ensuite tu vas me lĂ©cher et me satisfaire! Est-ce que ça va?âil murmura. Je nâĂ©tais pas dâhumeur Ă parler, âOK!âjâai secouĂ© la tĂȘte Ă la signification. Ma belle-sĆur mâa pris par la main et mâa tirĂ© sur mes pieds. Ma chemise de nuit Ă©tait tombĂ©e Ă mes pieds. Il a doucement baissĂ© ma culotte et les a enlevĂ©es de mes pieds. Puis il mâa fait mâasseoir Ă nouveau et sâest agenouillĂ© devant moi lui-mĂȘme. En commençant par mes orteils, il a commencĂ© Ă mâembrasser et Ă me lĂ©cher les jambes de haut en hautâŠ
Quand jâai senti sa langue dans ma chatte, je me caressais les seins avec plaisir et jâai presque pleurĂ©. Ma belle-sĆur avait mes pieds sur son Ă©paule, sa tĂȘte Ă©tait entre mes jambes, elle essayait de fourrer sa langue dans ma chatte, elle dĂ©capitait mes fesses avec ses mains et caressait mon trou du cul. Sa langue et son doigt fonctionnaient de maniĂšre organisĂ©e, et alors que sa langue entrait dans ma chatte, il enfonçait le bout de son doigt dans mon cul. Je nâai pas pu le supporter longtemps et jâai soudainement Ă©jaculĂ©. JâĂ©tais Ă bout de souffle. Ma belle-sĆur sâest levĂ©e, sâest penchĂ©e sur moi et sâest accrochĂ©e Ă mes lĂšvres. Son visage Ă©tait trempĂ© de lâeau de ma chatte. Jâavais le goĂ»t de mon jus de chatte de ses lĂšvres, il avait un goĂ»t trĂšs diffĂ©rent. Ma tante embrassait mes lĂšvres, suçait, bougeait sa langue autour de ma boucheâŠ
Puis, â Allez, petite salope, câest ton tour!âil a dit et sâest allongĂ© sur le canapĂ© et mâa fait me recroqueviller dessus, âMaintenant lĂšche ma chatte, caresse-la et doigte-la, petite salope!âdit-il. Jâai commencĂ© Ă lĂ©cher la chatte de ma belle-sĆur. Et je caressais les lĂšvres de sa chatte avec mes doigts. Ma belle-sĆur commençait Ă se tortiller sous moi. Il embrassait aussi ma chatte, me lĂ©chait, me caressait, me doigtait le cul. Je voulais une bite, mais jâai dĂ» me contenter des doigts de ma belle-sĆur qui me baisaient le cul. Jâai tellement aimĂ© ça que je nâai pas pu mâempĂȘcher de penser: âOhhh, câest tellement beau! Baise mon cul, tante!â Jâai commencĂ© Ă gĂ©mir. Mais jâai Ă©tĂ© surpris par une gifle rapide qui a atterri sur mes fesses. Belle-soeur â â Salope, arrĂȘte de parler et mets ta main dans ma chatte!âil criait et crachait bien ses doigts, essayant de me mettre deux doigts dans le cul.
Jâessayais aussi de serrer ma main et de la mettre dans la chatte de ma belle-sĆur. Mon oncle avait bien Ă©levĂ© la chatte de ma tante. Quand ma tante a soudainement collĂ© deux doigts tout le long de mon cul, ça mâa fait mal, jâai criĂ© et jâai mis ma main jusquâĂ mon poignet dans la chatte de ma tante. Et de ma tante â â Oohhhh!âsa voix est sortie. Maintenant, ma belle-sĆur me mettait deux doigts dans le cul et retirait ma main de sa chatte et lĂ©chait les lĂšvres de sa chatte et mordait. La chatte de ma belle-sĆur coulait maintenant bien arrosĂ©e et je lĂ©chais celles qui coulaient. Soudain, ma belle-sĆur sâest contractĂ©e et ma main est restĂ©e dans sa chatte. AprĂšs une minute ou deux, il sâest Ă nouveau desserrĂ© et jâai sorti ma main. Ma main Ă©tait trempĂ©e. Ma belle-sĆur mâa retournĂ© et a commencĂ© Ă me lĂ©cher la main sortant de sa chatte. Alors jâai commencĂ© Ă lĂ©cher les seins de ma belle-sĆur. Jâavais mal au cul, je ne me rendais pas compte du plaisir, mais les doigts de ma tante avaient un peu saignĂ© mon trou du cul. Cette nuit-lĂ , ma tante et moi dormions nues dans le mĂȘme lit et dormions en faisant lâamour.
Ma tante et moi avons couchĂ© ensemble pendant que mon oncle Ă©tait absent. Et un jour, ma belle-sĆur mâa fait une confession â â MĂȘme ton oncle meurt dâenvie de te lĂ©cher la chatte, encore moins de te baiser!âil a dit đ
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