gars de la famille porno Je me demande qui c’Ă©tait? Il n’y avait que mon beau-père et ma belle-sĹ“ur Ă la maison. J’ai attendu quelques secondes que celui qui venait allume la lumière. Mais qui que ce soit, il est entrĂ© et a lentement fermĂ© la porte sans allumer la lumière. Quand la lumière ne s’est pas allumĂ©e, il s’est demandĂ©: “Qui est-ce?”alors je me suis redressĂ© et j’ai cherchĂ© Ă tâtons le bouton de la table de chevet sur la table de chevet. “Belle-sĹ“ur, n’aie pas peur, c’est moi…”ma belle-sĹ“ur a dit dans un murmure. Quand j’ai ouvert la table de chevet, ma belle-sĹ“ur se tenait devant moi dans sa chemise de nuit. “Fille non, que s’est-il passĂ©? Quelque chose de grave est arrivĂ©?J’ai dit. Ma belle-sĹ“ur a chuchotĂ© “ ” Il n’y a rien, tante… Je n’arrivais pas Ă dormir… Je voulais te parler…”elle a dit. Je ne comprenais pas qu’il veuille me parler Ă cette heure de la nuit, mais j’ai chuchotĂ© comme lui: “Eh bien, pourquoi n’allumes-tu pas la lumière? Tu m’as fait peur, ma fille! J’ai presque pensĂ© qu’il Ă©tait un voleur et j’ai criĂ©! Et pourquoi chuchotes-tu de toute façon? Viens ici, c’est quoi ton problème?J’ai dit.
Ma belle-sĹ“ur est venue s’asseoir sur le bord du lit et a chuchotĂ© Ă nouveau “ ” Eh bien, tante… J’ai passĂ© un très bon moment avec vous aujourd’hui, merci!”il m’a serrĂ© dans ses bras et m’a embrassĂ© sur la joue. Je me disais: “Je suis sur le point de mourir, je pensais qu’il y avait aussi quelque chose d’important! Inutile de me remercier, chĂ©rie, si tu veux, on ira se promener plus souvent!”J’ai dit :” Je l’ai serrĂ© dans mes bras aussi. Il y avait une situation similaire dans la cuisine le matin, nous nous sommes Ă nouveau Ă©treints. Mais ensuite, nous Ă©tions dans ma chambre, sur mon lit, Ă une heure de la nuit. Parce qu’on Ă©tait toutes les deux en chemise de nuit, je sentais plus la chaleur de ton corps. Et quoi qu’il arrive (d’accord, ça suffit!) Je n’allais pas le dire. Parce que j’Ă©tais sĂ»r que ma belle-sĹ“ur en voulait aussi plus. Il n’y avait pas besoin de mots, le langage corporel disait tout. Son corps faible tremblait. Mais pas du froid, elle tremblait d’excitation.
Pourtant, pour ne pas embarrasser, il a dit “ ” Tu as froid, ma fille! Mettez-vous sous la couette, vite!”J’ai dit:” J’ai ouvert la couette. Puis j’ai tirĂ© la couette sur nous. Ma belle-sĹ“ur m’a vraiment piquĂ©. Nous nous sommes Ă©treints. Alors nous sommes restĂ©s immobiles pendant un moment. Je pouvais juste entendre l’Ă©change de respirations. Ses seins, qui descendaient et montaient Ă mesure qu’elle respirait, touchaient mes seins. Puis il a mis un pied sur mon pied. Son genou a Ă©galement touchĂ© ma jambe. Maintenant, il bougeait lĂ©gèrement son genou de haut en bas sur ma jambe. Il me caressait la jambe avec son genou. Une de ses mains Ă©tait sur ma taille, et une de mes mains lui caressait le dos. Nous Ă©tions joue contre joue. On ne parlait pas du tout. J’Ă©tais sĂ»r de ce qu’il voulait. J’Ă©tais aussi sĂ»r que je voulais ce qu’il voulait. Mais il avait peur que je me fâche peut-ĂŞtre, il Ă©tait timide et prudent. Il attendait que je passe Ă l’Ă©tape suivante.
J’ai levĂ© ma main qui lui caressait le dos et je l’ai attrapĂ© par l’Ă©paule et j’ai Ă©cartĂ© un peu son corps de mon corps, qu’il m’a collĂ©. Sa joue Ă©tait Ă©galement sĂ©parĂ©e de ma joue de cette façon. Maintenant, nous Ă©tions les yeux dans les yeux et nez Ă nez. Je pouvais sentir son souffle chaud sur mon visage. Ses yeux se fermèrent et ses lèvres se sĂ©parèrent comme s’il allait dire quelque chose. Alors j’ai ouvert mes lèvres et touchĂ© doucement ses lèvres charnues. Puis j’ai mis de petits busels sur ses lèvres. Au dĂ©but, elle ne lui a pas rendu la pareille du tout, mais ensuite il l’a embrassĂ©e aussi. On a commencĂ© Ă s’embrasser comme des fous. Quand sa langue Ă©tait dans ma bouche, quand ma lèvre infĂ©rieure Ă©tait dans sa bouche, nous sucions. Nous respirions tous les deux par le nez. Et nos mains avaient trouvĂ© l’endroit pour se caresser. Pendant que nous nous embrassions comme des fous, nos mains se saisissaient aussi les fesses, pĂ©trissaient, tiraient, sĂ©paraient, caressaient.
J’ai essayĂ© d’enlever ma chemise de nuit sans enlever mes lèvres de ses lèvres. Mais quand je ne pouvais pas, j’ai arrĂŞtĂ© de m’embrasser et je me suis redressĂ© et j’ai enlevĂ© ma chemise de nuit comme ça. Puis j’ai pointĂ© du doigt ma belle-sĹ“ur et j’ai aussi enlevĂ© sa chemise de nuit. Elle Ă©tait sans soutien-gorge, comme moi. Elle avait de très beaux seins dodus, ronds et vifs. Ses seins Ă©taient plus attrayants dans la faible lumière rouge de la veilleuse. Ses extrĂ©mitĂ©s Ă©taient stimulĂ©es, durcies, comme les miennes. J’ai doucement mis ses seins en coupe. Je marchais en cercles clairs sur ses seins. Sans presser, sans presser. Je caressais ses seins comme s’il y avait des oiseaux dans mes paumes. Les extrĂ©mitĂ©s avaient l’air incroyables. Je me suis penchĂ© et je les ai embrassĂ©s aux extrĂ©mitĂ©s, un par un. Ses seins montaient et descendaient plus maintenant quand elle respirait. Puis ma belle-sĹ“ur a jetĂ© ses mains sur mes seins et a commencĂ© Ă me caresser. J’ai doucement pressĂ© son cou contre son visage vers mes seins. Il a embrassĂ© mes seins, s’est relayĂ© pour embrasser et sucer mes seins. Une de ses mains bougeait entre mes jambes, essayant de caresser ma chatte par – dessus ma culotte. DĂ©c. Ma chatte Ă©tait mouillĂ©e.
D’un geste habile, j’ai enlevĂ© ma culotte et je l’ai jetĂ©e. Puis j’ai doucement poussĂ© ma belle-sĹ“ur et l’ai allongĂ©e sur le dos sur le lit. Je voulais attraper ta culotte par les cĂ´tĂ©s et la baisser. Elle s’est immĂ©diatement accrochĂ©e Ă mes mains et a chuchotĂ© “ ” Eh bien… Je n’ai pas pu Ă©piler depuis un bon moment, tante…”elle a dit. “Tout va bien, chĂ©rie, nous irons le faire un jour! DĂ©c.”alors j’ai libĂ©rĂ© mes mains de ses mains et j’ai dĂ©shabillĂ© sa culotte. Et il m’a aidĂ© Ă soulever sa hanche et Ă la retirer complètement. En fait, ses poils de chatte Ă©taient devenus assez longs, je suppose qu’ils n’avaient pas Ă©tĂ© pris depuis 6-7 mois. Puis je me suis penchĂ© sur ma belle-sĹ“ur. Mes seins touchaient tes seins. J’ai jetĂ© ses cheveux, qui se sont rĂ©pandus sur son visage, derrière son oreille et j’ai commencĂ© Ă embrasser ses lèvres. Embrassant son cou, sa gorge, je suis descendu sur ses seins, et de lĂ sur son nombril. Pendant que j’embrassais son ventre, mes doigts piquaient aussi les poils de sa chatte.
Puis je me suis glissĂ© et je me suis allongĂ© avec mon visage dĂ©capitĂ© entre mes jambes. Je l’ai cassĂ© aux genoux avec les deux mains et l’ai repoussĂ©, ouvrant ses jambes sur les cĂ´tĂ©s. Maintenant, ma belle-sĹ“ur semblait allongĂ©e devant moi, sur la chaise d’un gynĂ©cologue. Avec mes doigts, j’ai mis les poils de sa chatte Ă droite et Ă gauche, rĂ©vĂ©lant son clitoris. J’ai mouillĂ© le pouce de ma main droite dans ma bouche et j’ai commencĂ© Ă masser doucement son clitoris avec mon pouce. Ma belle-sĹ“ur a pris l’oreiller dans sa bouche et a commencĂ© Ă mordre. Mais ce n’Ă©tait encore rien, on venait de commencer! Avec mon autre main, je posai les poils Ă droite et Ă gauche et rĂ©vĂ©lai les minuscules lèvres de sa chatte. Et j’ai embrassĂ© sa chatte sur les lèvres. Tout en caressant son clitoris d’une part, j’embrassais, lĂ©chais et suçais tour Ă tour les lèvres de sa chatte en mĂŞme temps. Et de temps en temps, je mettais ma langue dans et hors du trou de sa chatte. DĂ©c.
MĂŞme si ma belle-sĹ“ur avait un oreiller dans la bouche qu’elle avait mordu, ses gĂ©missements rauques et rauques montaient. Alors que j’accĂ©lĂ©rais la dilatation de sa chatte, en parallèle, les battements de ma belle-sĹ“ur s’accĂ©lĂ©raient. Quand j’ai mis mon pouce dans son trou du cul, il a commencĂ© Ă trembler, Ă se contracter. Ses tortillements augmentèrent. Soudain, il leva les deux pieds et enroula ses jambes autour de mon cou. Il me serrait le cou comme un Ă©tau avec ses jambes pour que je n’en souhaite plus. Sa taille montait et descendait constamment. Oui, ma belle-sĹ“ur avait un orgasme et Ă©jaculait. son orgasme a durĂ© environ 2-3 minutes. Mais j’ai failli me noyer aussi. Quand il s’est dĂ©tendu, il a dĂ©tachĂ© ses jambes de mon cou, les a laissĂ©es tomber sur les cĂ´tĂ©s. Alors je me suis redressĂ©, j’ai croisĂ© les jambes et je me suis assis pour regarder. DĂ©c. Il respirait encore comme s’il Ă©tait en train de mourir, depuis longtemps, profondĂ©ment, profondĂ©ment. Il a fallu un certain temps pour que ta respiration s’amĂ©liore.
Puis il est venu ramper sur le lit vers moi. J’Ă©tais toujours assis les jambes croisĂ©es. “Je t’aime beaucoup, tante!”en disant cela, il se mit Ă genoux, prit mon visage entre ses mains et embrassa mes lèvres. Alors je me suis mis Ă genoux et j’ai dit: “Je t’aime tellement aussi, chĂ©rie!J’ai dit. Nous nous sommes embrassĂ©s pendant un moment, debout sur nos genoux. Nos mains se caressaient Ă nouveau les joues du cul l’une de l’autre, se paluchant, pĂ©trissant, sĂ©parant, tirant. Mais le doigt de ma belle-sĹ“ur semblait chercher un endroit spĂ©cifique entre mes fesses. DĂ©c. Son doigt descendait, et quand il a touchĂ© ma chatte, il est immĂ©diatement remontĂ©. Il cherchait visiblement mon trou du cul. J’ai mis ma main derrière mon dos, attrapĂ© le doigt de l’appelant et l’ai amenĂ© dans mon trou du cul. Il a caressĂ© un peu mon trou du cul avec le bout de son doigt, puis a essayĂ© de mettre son doigt dedans. De toute Ă©vidence, il voulait me doigter le cul. J’aurais aimĂ© qu’il fasse ça aussi.
Mais c’Ă©tait un peu difficile dans cette position. “Ma chĂ©rie, un instant!”J’ai dit:” Je lui ai tournĂ© le dos et je me suis mis Ă quatre pattes, j’ai sĂ©parĂ© mes jambes. Il a embrassĂ© un peu les joues de mon cul, l’a caressĂ©, l’a pĂ©tri. Puis il a mis son doigt dans mon trou du cul. Le doigt fin de ma belle-sĹ“ur, Cavit brain, avait mangĂ© sa grosse bite et Ă©tait entrĂ© dans mon cul sans aucune difficultĂ©. Il allait bien jusqu’Ă lĂ , mais son doigt se tenait juste sur mon cul. C’est immobile. Je devais redevenir guide. J’ai mis ma main derrière son dos, attrapĂ© sa main par le poignet et dĂ©placĂ© sa main d’avant en arrière plusieurs fois. Alors son doigt entrait et sortait de mon cul. Il a compris ce qu’il devait faire, et quand j’ai lâchĂ© sa main, il n’arrĂŞtait pas de la mettre dedans et de la retirer lui-mĂŞme. Alors j’ai commencĂ© Ă me frotter la chatte.
Quand il s’est rendu compte que je me frottais la chatte, il a repoussĂ© ma main et a commencĂ© Ă s’occuper de ma chatte lui-mĂŞme. Maintenant, il me doigtait le cul et me frottait la chatte. J’ai bien collĂ© mon Ă©paule et mon visage au lit. Mon cul Ă©tait bien cousu maintenant. J’ai mis mes deux mains derrière mon dos et j’ai sĂ©parĂ© les joues de mon cul autant que possible, pour que ce soit confortable. Je l’apprĂ©ciais Ă©normĂ©ment, mais c’Ă©tait comme s’il me manquait quelque chose pour atteindre l’orgasme. “Lèche-le, chĂ©rie!J’ai dit. Il a arrĂŞtĂ© de me frotter la chatte et a commencĂ© Ă me lĂ©cher. Son doigt n’arrĂŞtait pas d’entrer et de sortir de mon cul.
En mĂŞme temps, il donnait beaucoup de plaisir pendant que sa langue mouillĂ©e bougeait autour de ma chatte, mais son doigt n’Ă©tait pas assez Ă©pais. “Attends, attends un peu!”J’ai dit, j’ai levĂ© les yeux et j’ai regardĂ© les choses sur la table de chevet. Bien que ce ne soit pas exactement l’Ă©paisseur que je voulais, le manche de ma brosse Ă cheveux Ă©tait Ă©pais. J’ai tendu la main, je l’ai ramassĂ© et j’ai dit: “Tiens, mets la poignĂ©e de ça dans mon cul!J’ai dit. J’ai pris mon ancien poste, je me suis cousu le cul. C’Ă©tait comme si ma demande l’avait surpris. Après une courte abstention, il a lentement insĂ©rĂ© le manche de la brosse dans mon cul. Oui, c’Ă©tait mieux maintenant, ça me remplissait le cul. Quand ma belle-sĹ“ur a enfoncĂ© le manche de la brosse dans mon cul et l’a sorti, m’a lĂ©chĂ© la chatte et j’ai caressĂ© mon clitoris, cela n’a pas pris longtemps, j’ai gĂ©mi et j’ai eu un orgasme. En fait, j’aimerais gĂ©mir aussi fort que possible, mais ce serait un dĂ©sastre si mon beau-père se rĂ©veillait et nous attrapait comme ça.
Je me suis accrochĂ© au lit face contre terre, comme une grenouille sur laquelle on marche. Le manche de la brosse Ă©tait toujours sur mon cul, ma belle-sĹ“ur tenait toujours la brosse. Il embrassait ma taille, mon dos, mes Ă©paules. Il mettait des petits bus sur ma peau moite. J’ai sorti ma main et j’ai sorti la brosse de mon cul. Je me redressai. J’ai embrassĂ© les lèvres de ma belle-sĹ“ur et j’ai dit: “ChĂ©rie, tu ferais mieux d’y aller maintenant…”. “Oh, tante, je veux coucher avec toi!”dit-il. J’aurais aimĂ© ça aussi, mais, ” Peut-ĂŞtre que ça arrivera une autre fois, chĂ©rie!”J’ai dit:” Je lui ai donnĂ© sa culotte et sa chemise de nuit pour s’habiller. Elle s’habillait Ă contrecĹ“ur. On s’est embrassĂ©s une dernière fois. Puis, il est parti aussi tranquillement qu’il est venu.