une milf sournoise sĂ©duit son petit ami Jâai baisĂ© ma tante pour la premiĂšre fois en 2008. Quand jâai baisĂ© pour la premiĂšre fois, ma tante Ă©tait plus fraĂźche (mĂȘme si elle est fraĂźche maintenant). La taille de ma belle-sĆur est de 1,75 kilos, et son corps est dâenviron 55 ans, ses seins et ses hanches sont trop beaux pour chercher un mannequin. De plus, en tant que femme qui a donnĂ© naissance Ă un enfant, son corps peut ĂȘtre qualifiĂ© de Super.
Mon frĂšre et ma belle-sĆur se sont mariĂ©s en 2004. Nous restions tous avec notre famille parce que mon frĂšre a kidnappĂ© ma tante et sâest mariĂ©. JâĂ©tais cĂ©libataire Ă lâĂ©poque et je travaillais les Ă©tĂ©s. La saison est terminĂ©e, je suis rentrĂ© Ă la maison.
Je passais la plupart de mon temps Ă la maison avec ma tante. Mon pĂšre et mon frĂšre travaillaient, et ma mĂšre ne sâarrĂȘtait pas Ă la maison dĂ©cembre DĂ©cembre, quand il sâagissait de voisins. Nous commencions aussi Ă devenir trĂšs intimes avec ma tante, Ă nous inquiĂ©ter et des trucs comme ça. Je ne pensais pas Ă de telles choses contre ma tante Ă ce moment-lĂ , mais il sâest avĂ©rĂ© que ma belle-sĆur avait dĂ©jĂ commencĂ© Ă penser Ă ĂȘtre avec moi, mais elle ne me le disait pas clairement. Ma belle-sĆur a eu beaucoup dâennuis avec mon frĂšre ces derniers temps. Je consolais ma belle-sĆur, ignorant lâintĂ©rĂȘt de ma belle-sĆur pour moi. Encore un jour, mon frĂšre et mon pĂšre sont allĂ©s travailler, ma mĂšre lisait Ă cĂŽtĂ©, Mevlut y est allĂ©, jâĂ©tais seul Ă la maison avec ma tante. Ma belle-sĆur fumait en secret quand il nây avait personne Ă la maison. Quand tout le monde est parti, ma tante a pris le paquet de cigarettes quâelle avait cachĂ© dans la cuisine, est venue, a sorti une cigarette du paquet et lâa allumĂ©e. Jâai dit: âTante, ne bois pas cette merde!âalors jâai pris la cigarette de sa bouche, je lâai Ă©teinte et je lâai jetĂ©e.
Ma tante a dit :âJe vais boire, je vais boire!âil a sorti une autre cigarette du paquet. Il lâa mis dans sa bouche juste au moment oĂč il Ă©tait sur le point de le brĂ»ler, je lâai de nouveau retirĂ© de sa bouche et je lâai cassĂ©. Ma belle-sĆur a attrapĂ© le paquet et a couru dans la chambre, alors je lâai suivie. Quand ma tante Ă©tait sur le point de retirer Ă nouveau une cigarette du paquet, je voulais retirer le paquet de la main de ma tante. Ma belle-sĆur sâest retournĂ©e et nâa pas voulu me donner le paquet de cigarettes. Officieusement, jâai Ă©galement serrĂ© ma belle-sĆur dans mes bras par derriĂšre et jâai essayĂ© dâobtenir le paquet de cigarettes. Ma belle-sĆur sâest penchĂ©e en avant en rĂ©sistant pour ne pas donner le paquet quâelle tenait fermement dans sa main. Le cul de ma belle-sĆur Ă©tait Ă lâarriĂšre et reposait devant moi. Jâavais officiellement serrĂ© ma belle-sĆur dans mes bras par derriĂšre et je commençais Ă avoir des mouvements. Afin de ne pas donner le colis Ă ma belle-sĆur, nous sommes soudainement tombĂ©s au lit pendant que jâavais du mal Ă lâobtenir. Ma belle-sĆur Ă©tait sous moi, mais elle nâarrĂȘtait toujours pas de fumer. Ma belle-sĆur a soudainement jetĂ© le paquet de cigarettes dans son pull prĂšs de ses seins et a cessĂ© de rĂ©sister sous moi en disant â â Allez, prends mes haricots si tu peux les avoir!âdit â il en riant sournoisement.
Et jâai dit :âJe vais le prendre!Jâai dit. Ma belle-sĆur a dit: âTu ne peux pas lâavoir! Tiens, voyons voir!âil mâa mis au gaz. Jâai mis ma main dans la gorge de ton pull pour prendre la cigarette. Quand je cherchais le paquet de cigarettes, ma main touchait les seins de ma tante, que je le veuille ou non. Alors je me suis branlĂ©e, jâai arrĂȘtĂ© de chercher des cigarettes et jâai commencĂ© Ă caresser officiellement les seins de ma belle-sĆur Ă travers le soutien-gorge. Ma belle-sĆur se tenait assez dĂ©tendue sous moi, comme si elle attendait que je fasse ça. Alors, encouragĂ©e par le rĂ©confort de ma tante, jâai mis ma main dans son soutien-gorge et jâai commencĂ© Ă toucher et Ă caresser ses mamelons. Au fait, ma bite Ă©tait comme un pieu et elle touchait juste entre les fesses de ma belle-sĆur. Jâai commencĂ© Ă donner des coups de pied comme si je baisais le cul de ma belle-sĆur. Ma belle-sĆur nâavait pas du tout lâair excitĂ©e, ou elle aimait beaucoup ça. Mais peu de temps aprĂšs, â ArrĂȘtez! Quelquâun arrive!âdit-il. Jâai immĂ©diatement retirĂ© ma main de ses seins de peur et je me suis levĂ© sur ma belle-sĆur. Ma bite Ă©tait descendue de peur. Mais il nây avait pas dâarrivĂ©es et de dĂ©parts. âQuand personne ne vient, menteur!âJâai dit et jâai de nouveau serrĂ© ma belle-sĆur dans mes bras et jâai essayĂ© de remettre ma belle-sĆur au lit dans la position que je venais dâavoir. Mais ma belle-sĆur est sortie de dessous moi et a couru vers le couloirâŠ
Jâai attrapĂ© ma belle-sĆur dans le couloir. Jâai mis le dos de ma belle-sĆur contre le mur, je lâai serrĂ©e dans mes bras et jâai commencĂ© Ă lui embrasser le cou et la joue. Quand ma belle-sĆur a rendu la pareille, nous avons soudainement commencĂ© Ă nous embrasser lĂšvre Ă lĂšvre dans le couloir. Je donnais des coups de pied comme si ma bite baisait sa chatte busefer, qui sâĂ©tait Ă nouveau durcie. Les cordes Ă©taient coupĂ©es et nous commencions tout juste Ă faire lâamour quand soudain nous avons entendu lâouverture grinçante de la porte en fer du balcon. Ma belle-sĆur a couru dans la chambre et je suis immĂ©diatement allĂ© aux toilettes avec peur. Jâattendais tranquillement dans la salle de bain, essayant dâentendre qui arrivait. Ma belle-sĆur et moi Ă©tions Ă mi-chemin, mais mĂȘme cette excitation Ă©tait indescriptible. AprĂšs quelques secondes, jâai rĂ©alisĂ© Ă partir des sons que câĂ©tait la petite fille de mon autre frĂšre. Comme jâĂ©tais soulagĂ©, jâai quittĂ© les toilettes et je suis allĂ© dans le salon. Ma belle-sĆur est Ă©galement venue de la chambre. La fille de mon frĂšre et ma niĂšce ont jouĂ© un peu Ă la maison et sont sorties. Ma belle-sĆur et moi avons recommencĂ© Ă nous embrasser. Mais nous Ă©tions toujours nerveux que quelquâun puisse venir. Puis nous avons arrĂȘtĂ© de nous embrasser pour pouvoir continuerâŠ
Un jour, ma tante et moi Ă©tions de nouveau seuls Ă la maison. Ma belle-sĆur portait quelque chose comme une jupe longue sur le dessus et un cardigan fin avec une fermeture Ă©clair juste en dessous, elle est venue vers moi et nous avons commencĂ© Ă nous embrasser. Jâai soulevĂ© la jupe de ma belle-sĆur, il nây avait pas de culotte dessous. Sa chatte glabre nouvellement rasĂ©e Ă©tait brillante de rouille comme un slip. Jâai dĂ©compressĂ© son cardigan, et elle ne portait pas de soutien-gorge, ses seins Ă©taient incroyables. Jâai immĂ©diatement commencĂ© Ă lui lĂ©cher les seins. CâĂ©tait gĂ©nial. AprĂšs lui avoir lĂ©chĂ© les seins, je suis descendu dans son ventre de lĂ Ă sa chatte et je lui ai lĂ©chĂ© la chatte pendant un long moment. Ma belle-sĆur a eu son premier orgasme avec des gĂ©missements et de petits tremblements et avait dĂ©jĂ Ă©jaculĂ© dans ma bouche. Je nâen pouvais plus de lĂ©cher la chatte de ma tante et dâavaler les eaux de sa chatte, jâaurais pu lĂ©cher pendant des heures. Je me suis dĂ©shabillĂ© en un clin dâĆil et ma belle-sĆur et moi sommes immĂ©diatement passĂ©s Ă la position 69. Pendant que je lĂ©chais et lĂ©chais Ă nouveau les lĂšvres de la chatte, le clitoris et le trou de la chatte de ma tante, ma tante lĂ©chait ma bite, qui Ă©tait comme un pieu, parfaitement, boud catastrophiquementâŠ
Ma belle-sĆur a Ă©jaculĂ© dans ma bouche pour la deuxiĂšme fois, pendant ce temps, ma bite Ă©tait maintenant dĂ©cemment Ă©tirĂ©e. Il Ă©tait temps de baiser ma tante. Nous nous sommes immĂ©diatement levĂ©s de la position, jâai habillĂ© ma belle-sĆur sur le dos, jâai Ă©cartĂ© les jambes et jâai pris ma place entre ses jambes. Jâai lentement placĂ© ma bite dans la bouche de sa chatte et jâai commencĂ© Ă lâinsĂ©rer dans la boĂźte Ă miel. Quand ma bite a atteint le fond de sa chatte, ma belle-sĆur a commencĂ© Ă gĂ©mir, fermant les yeux et se mordant les lĂšvres. Jâallais et venais de la petite chatte serrĂ©e de ma tante. CâĂ©tait une chose incroyablement incroyable. La taille fine de ma belle-sĆur semblait quâelle allait se casser. Ses jambes Ă©taient enroulĂ©es autour de ma taille comme un serpent et il me tirait plus vite dedans. En mĂȘme temps, nos lĂšvres Ă©taient enflĂ©es et rouges Ă force de sâembrasser. Quand les gĂ©missements de ma tante ont augmentĂ©, jâai accĂ©lĂ©rĂ© encore plus vite, et avec une grande prĂ©cipitation, nous avons tous les deux Ă©jaculĂ© en mĂȘme temps. En fait, aprĂšs avoir Ă©jaculĂ© aprĂšs lâorgasme, je ne voulais pas sortir de la chatte de ma tante pendant un moment, mais de peur que quelquâun vienne Ă tout moment, nous avons immĂ©diatement emballĂ© et habillĂ© et nous nous sommes assis dans le salon normalement.
Câest la premiĂšre fois que je baise ma belle-sĆur comme ça. Je me sentais coupable envers mon frĂšre dâavoir baisĂ© ma belle-sĆur, mais ma belle-sĆur et moi sommes tombĂ©s amoureux lâun de lâautre. De plus, mon frĂšre et ma belle-sĆur avaient 12 ans entre eux (ma belle-sĆur avait 22 ans et mon frĂšre 34 ans Ă lâĂ©poque) et leurs structures ne convenaient pas dĂ©cemment. Quoi quâil en soit, ma belle-sĆur et moi avons Ă©tĂ© ensemble et baisĂ©s plusieurs fois pour ne pas nous appeler Ă chaque occasion. 2 ans plus tard, jâai Ă©pousĂ© une fille et jâai emmĂ©nagĂ© dans une maison sĂ©parĂ©e. Au fait, ma belle-sĆur a eu un enfant. DĂ©c. Ma belle-sĆur dit que ça ne vient pas de moi, mais je ne sais pas si elle dit la vĂ©ritĂ©. MalgrĂ© le fait que ma belle-sĆur se soit mariĂ©e et ait eu un enfant, nous avons continuĂ© Ă baiser ma belle-sĆur Ă chaque occasion. Ensuite, jâai dĂ©mĂ©nagĂ© Ă Antalya avec ma femme (en raison de la situation de travail). Mais chaque fois que jâallais dans ma ville natale, je crĂ©ais dĂ©finitivement une opportunitĂ© et je baisais ma belle-sĆur.
En vacances, lorsque ma femme est allĂ©e dans sa ville natale en avion pour rendre visite Ă sa famille, je suis allĂ© dans ma ville natale chez ma famille en voiture. Quand je reviendrai de la visite de vacances, ma tante a dit Ă mon frĂšre â â Jâirai aussi, je mâennuie beaucoup, laissez-moi rester Ă Antalya pendant une semaine ou deux, il y aura du changement.âdit-il. Mon frĂšre a aussi donnĂ© la permission. Le soir, nous sommes montĂ©s dans la voiture, ma belle-sĆur et mon neveu sont montĂ©s sur la banquette arriĂšre et nous avons commencĂ© notre chemin. AprĂšs avoir conduit Ă quelques kilomĂštres de chez moi, jâai arrĂȘtĂ© la voiture et ma belle-sĆur est montĂ©e sur le siĂšge avant. AprĂšs avoir parcouru un peu de chemin, le soleil commençait Ă se coucher et il commençait Ă faire sombre. Ma belle-sĆur (dâune maniĂšre que ma niĂšce ne pouvait pas voir) regardait par la fenĂȘtre, a jetĂ© sa main devant moi, a dĂ©compressĂ© ma fermeture Ă©clair et jouait avec ma bite. Mon neveu nâavait pas beaucoup de sens pour de telles choses parce quâil Ă©tait petit, mais je conduisais toujours la voiture sans excitation. Au bout dâun moment, quand il faisait nuit, ma tante sâest appuyĂ©e sur mes genoux et a commencĂ© Ă lĂ©cher et Ă sucer ma bite. Mes yeux Ă©taient rivĂ©s sur la route, je conduisais dâune main et pressais la tĂȘte de ma belle-sĆur contre ma bite de lâautre main et lui faisais la prendre jusquâĂ la racine de sa bouche. Peu de temps aprĂšs, jâai commencĂ© Ă me contracter et Ă Ă©jaculer en giclant dans la bouche de ma tante. Plus de la moitiĂ© de mon sperme est allĂ© directement dans lâestomac de ma tante et elle a avalĂ© le reste elle-mĂȘme.
Jâai dit Ă ma belle-sĆur ââ Il y a des lingettes humides dans TorpedoâŠâ. Ma tante a dâabord essuyĂ© mon sperme Ă©talĂ© sur son visage dans sa bouche avec une lingette humide, puis elle a continuĂ© Ă essuyer ma bite et Ă jouer avec ma bite. Je regardais constamment mon neveu dans le rĂ©troviseur, me demandant sâil dormait. nous avions parcouru encore 45 Ă 50 kilomĂštres lorsque mon neveu sâest finalement endormi. Jâai immĂ©diatement quittĂ© lâasphalte et conduit la voiture dans la forĂȘt. Nous nous sommes arrĂȘtĂ©s quand nous Ă©tions assez loin de la route. Il faisait nuit noire dehors. Ma belle-sĆur a immĂ©diatement enlevĂ© sa culotte. Alors jâai dĂ©bouclĂ© ma ceinture et je me suis dĂ©shabillĂ© jusquâĂ ma culotte avec mon pantalon. Ma belle-sĆur venait de soulever Ă nouveau ma bite en jouant, mais elle ne sâĂ©tait pas complĂštement durcie, elle lâa prise dans sa bouche et lâa lĂ©chĂ©e jusquâĂ ce quâelle devienne dure. Puis il est passĂ© du siĂšge oĂč il Ă©tait assis Ă mes genoux. CâĂ©tait assez difficile en passant (jâai mĂȘme fait une blague Ă ma belle-sĆur en passant, âAttention Ă ce que le levier de vitesses ne se mette pas en place!âil). Ma belle-sĆur est sortie sur moi, a placĂ© ma bite dans sa chatte avec sa main et a commencĂ© Ă me sauter dessus comme une folle. Nous voulions tous les deux crier de plaisir et dâexcitation, mais nous ne pouvions pas faire de bruit car mon neveu dormait Ă lâarriĂšre. Ma belle-sĆur nâarrĂȘtait pas de sauter avec ses bras autour de mon cou. AprĂšs avoir baisĂ© et joui ensemble pendant plus dâune demi-heure, nous sommes repartisâŠ